Coup de chaud pour les équipes ! 48 heures avant une importante assistance gravitationnelle en survolant Vénus, la sonde européenne a traversé le résultat d’une très large éjection de masse coronale solaire.
Heureusement que la sonde était blindée, ils l’avait pris en compte dans leurs calculs.
Le tout serait de savoir si c’était un rot ou si c’était un pet !
Solar orbiter est capable d’encaisser toutes les perturbations solaire. c’est d’ailleurs son objectif afin de déterminer les conséquences et les variations des éruptions ainsi que de mesurer plus précisément le changement de cycle qui débutera vers 2030, diminuant significativement la production. Pour simplifier, les scientifique pense que le prochain cycle est comparable à celui que la terre a connu il y a 10 000 ans environ ( période d’une ère glaciaire), tout ceci évidement par analyse des carottage effectués il y a un peu plus de 20 ans.
Non, l’objectif principal de Solar Orbiter est d’observer les pôles solaires en inclinant progressivement son orbite, ainsi que de mesurer et de photographier en IR, UV et visible les pôles et régions d’activité solaire. Sa mission se termine en 2027-28.
D’autre part, cette publication alarmiste (qui date de 2014) sur un cycle de baisse drastique solare n’a pas été reprise depuis et ne fait pas consensus scientifique (il est donc faux d’écrire « les scientifiques pensent… »). Les cycles solaires sur 11 ans se poursuivent, nous sommes actuellement dans une période d’augmentation d’activité, jusqu’à environ 2024-25.
Parker a-t-elle enregistré le même phénomène ?
Heu, toute sonde qu’elle soit, elle cramera tôt ou tard. Elle a forcement une température limite à ne pas dépasser.