Coronavirus, détérioration du climat, menaces technologiques sur le terrain… Les acteurs humanitaires assistent depuis quelques années à une multiplication des menaces. Le directeur de la Croix-Rouge française explique comment les appréhender et les surmonter, dans une interview accordée à Clubic.
« Si vous souhaitez faire un don à la Croix-Rouge française », bah non. Pour avoir eu des proches dans certains pays ou ils officiaient, je ne donnerai jamais 1 centime.
Et qu’est-ce que ce genre d’article vient faire sur un site « hi-tech » ?
Mon boucher me disait l’autre jour que tous les dons servaient a financer la campagne du RN. Je ne sais plus qui croire.
Climat (Je te ramène à la rubrique Sciences & Tech) ; Coronavirus (rubrique Santé) et Armes/drones autonomes (Rubr. Nouvelles technologies).
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Pas du tout d’accord avec toi sur le travail de la Croix-Rouge. Tu as peut-être eu connaissance de dysfonctionnements, comme on peut malheureusement en voir dans tous les domaines, mais il ne faut pas oublier que cette organisation fait un travail remarquable et extrêmement utile à longueur d’année, avec des employés ou bénévoles qui œuvrent quelquefois au péril de leur vie et qui savent ce qu’est donner du temps pour les autres.
Pour le reste, ça fait un moment que Clubic est devenu un site généraliste sur fond hi-tech. Pour les anciens, il faut s’y faire (il serait même temps)…
« On ne respecte plus les règles de la guerre »
Il faut être vraiment naïf pour penser qu’une guerre puisse se soumettre à des règles.
@Popoulo
« Pour avoir eu des proches dans certains pays ou ils officiaient, je ne donnerai jamais 1 centime. »
Pour avoir fréquenté 3 semaines 2 de leurs membres au Sénégal (St Louis) en 2003 pour une campagne de lutte contre le Paludisme je dirais qu’ils font ce qu’ils peuvent dans un contexte souvent compliqué.
Quand les conteneurs de médicaments (ou matériel) leur arrivent quasi vides (pillés à chaque étapes : douane - routage - personnels locaux, médecins compris) ou qu’ils se font bananer par leurs « coordinateurs » locaux…
Et ce n’était ni une zone de guerre ni une région sous tension.
C’est facile, d’un pays tel que le notre, de monter en épingle des cas de dérives isolées avérées ou apparentes sans prendre en compte le dévouent de beaucoup, et l’abnégation de quelques un.
Quand en pleine saison des pluies (et de ces patin de moustiques) le type te dit avoir donner toutes ses propres réserves de savarine parce qu’il y a une semaine un gamin est mort de neuropaludisme faute de moyens… Alors qu’il pourrait être tranquille en France, derrière son clavier à commenter les news de Clubic…
Malade comme un chien j’ai du rentrer en catastrophe : j’ai laissé 5 semaines de traitement pour un adulte en partant. Maigre contribution certes, mais contribution. C’est l’essentiel.
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