Commentaires : IPTV : les victimes collatérales de la lutte contre le piratage n’ont pas fini de trinquer

LaLiga vient de remporter une nouvelle manche dans sa guerre sans merci contre le piratage. Souvent critiquée pour ses blocages jugés trop larges, la méthode de lutte contre le piratage utilisée par la ligue espagnole vient de nouveau d’obtenir un soutien politique : le Parlement a refusé d’encadrer ses actions, malgré les risques de surblocage.

C’est aussi une façon de mettre la pression sur les géants américains.
Bien-sûr c’est pénible lorsque des services essentiels (et administratifs) passent aussi par Cloudflare. Idéalement il doit y avoir un acteur public et national qui devrait remplir cette fonction antibot et de mitigation DDoS.

c’est un signal flagrant de corruption !

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Pourrais-tu expliquer ce qui te fait dire ca ?

Je comprend ce qu’il veut dire.
En Espagne, comme en Italie, le foot est roi, les supporters et les spectateurs sont des électeurs, alors les politiques rasent les murs dès que les clubs ou la fédé toussent.

Mais au final c’est de la faute aux fraudeurs ou bien de ceux qui veulent se protéger des fraudeurs ? Car si j ai bien compris s’il n’y avait pas les resquilleurs du piratage le phénomène des dommages collatéraux n’existerait pas ? CQFD. Il ne faut pas se tromper de responsables ni pousser mémé dans les orties. En France la politique de lutte anti piratage est clairement trop laxiste ! Il est temps que ça change.

l’avidité des ayants-droits et de leur écosystème de vautours-rentiers a encore frappé …

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