Commentaires : IPTV illégale : le piratage recule-t-il vraiment en France ? L'Arcom dévoile ses chiffres

Alors que le piratage des retransmissions sportives reste une préoccupation majeure pour les ayants droit, l’Arcom vient de publier son rapport 2024 sur la consommation illicite de contenus sportifs en France. Malgré une intensification des mesures de blocage, le phénomène ne recule pas franchement, mais semble contenu. Décryptage.

accès à moindre coût, disponibilité accrue face aux restrictions géographiques, et comme une contestation des tarifs élevés des abonnements officiels. C’est pas prêt de s’arrêter

Tant qu’il n’y a pas d’offre de sport « à la carte » et le morcellement au sein d’une même discipline, les comportements ne changeront pas. Le problème est que le détenteur des droits change en fonction des compétitions et des ligues et pas d’autre choix que de prendre plusieurs packs avec pleins d’autres trucs inintéressants pour rester dans la légalité. Et il y a une certaine FOMO qui s’installe lorsque un des matchs n’est dispo qu’en décalé.

Il faudrait regrouper toutes les offres et faire un prix intéressant.
Mais bon, même comme ça, ça n’arrêtera pas le piratage.
C’est le serpent qui se mord la queue.

Réduire le piratage, mais pas l arrêter.
DAZN pensait se faire du fric en rackettant les Français , avec des offres lunaires et ne proposant aucun service de qualité qui pourrait intéresser les français qui trimballent avec eux un abonnement Netflix , amazon prime, offre tv des opérateurs , Canal+ …
Dazn n a pas sa place en France .

On peut donc en déduire que les revenus prétendument « perdus » par les ayant-droits sont largement surestimés

Keuwah ?!! On nous aurait menti ? Ah ben ça, alors, c’est incroyable …

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Un simple changement de nom de l’URL suffit à faire capoter la protection
Les sites proposent des URL différentes ou en changent plusieurs fois en cours d’année surtout s’ils voient leur traffic baisser
Comment dépenser du fric et des ressources de l’état pour se donner bonne conscience et un résultat proche du néant

« le piratage sportif ne se substitue pas forcément à l’offre légale, mais coexiste avec elle, dans une logique de complément. On peut donc en déduire que les revenus prétendument « perdus » par les ayant-droits sont largement surestimés, puisque les utilisateurs recourants aux offres illégales sont, pour majorité, soit déjà abonnées à des offres légales, soit ne s’abonneraient pas même en l’absence d’offres illégales. » c’est très clair, merci. Encore une fois le piratage pour réguler les délires de certains ayant-droits.