Comme dit plus haut, il existait des Mac desktop avec processeur Power (ils étaient nettement plus puissants notamment au niveau calculs graphique que leur concurrents PC de l’époque et c’est qui a permis à Apple de faire son trou chez les graphistes), on disposait également au début des années 2000 de desktop sous AIX avec processeur Power.
Aujourd’hui, il est vrai que les processeurs Power et les processeurs sous architecture RISC sont plutôt réservés au marché des serveurs (et supercalculateurs), marché sur lequel est présent Intel également donc ils sont bien en concurrence.
Niveau OS, pour les HPC on va surtout trouver du Linux et pour les serveurs plus conventionnels du Linux, de l’AIX et de l’IBMi (mon préféré).
Non, la position de force d’Apple chez les graphistes est largement antérieure à ça, elle date des tous premiers Mac, parce que Jobs avait poussé pour avoir des primitives graphiques bien plus avancées que sur les PC dans l’OS.
Mouais… Disons plutôt des petits serveurs et des machines pour les devs AIX… Parce que AIX n’a jamais été pensé comme un OS pour desktop généraliste, ça n’a jamais été dans les plans d’IBM, et y a vraiment pas la logithèque pour dessus (y compris les logiciels desktop d’IBM…).
Power est réservé à ce marché, oui. PowerPC un peu moins, on en trouve dans le monde réseau notamment (routeurs, firewalls, switchs…). Mais la famille RISC de manière générale, non : tout le monde mobile s’appuie massivement sur des CPU RISC (les ARM).
À quel moment j’ai écrit qu’intel avait perdu son leadership ?
Intel, n’en est pas à la première purge de salariés de son histoire et il recommencera sûrement.
Maintenant, dire que les salariés licenciés retrouveront du boulot, y a un léger doute, même aux Etats Unis.
Les purges du passé, étaient, pour « délocaliser » (ce mot là vient de cette époque).
Je ne sais pas, si un livre d’histoire, existe à propos de ces « événements », mais pour ceux concernés (les purgés), ça n’a pas dû être drôle…
Inutile de me mettre un lien qui relaterait cette période, j’aurais tendance, à ne pas croire, ce qui y serait écrit.