On va voir fleurir sur LinkedIn des profils comme « expert en prompt IA », « AI prompt engineer » etc… Mais c’est vrai que pour bien maîtriser l’IA il est aussi nécessaire de bien savoir communiquer avec. Et aussi se documenter sur les différentes façons d’interagir.
Aucun rapport. Je dis qu’il y a un potentiel qui peut servir dans mon business.
Je suis ps jaloux des prompteurs AI car c’est un taf qui ne m’intéresse pas et que je suis passionné par ce que je fais.
J’ai quand même le droit de pas trouver ça normal de tel salaire sur ce type de truc.
Sinon c’est bien le fait probleme, c’est que la notion de valeur est complètement faussé.
Sorry mais un ingénieur prompt n’apporte rien à la société.
Faut pas tout mélanger et ne pas être binaire aussi.
Ce n’est pas blanc ou noir et ce n’est pas binaire.
Un journaliste c’est important, ça éclaire le monde de ce qu’il se passe.
Un artiste aussi, ça apporte la culture aux gens.
Le paysan, il t’apporte la bouffe.
Etc…
Je suis désolé, mais un prompteur, ça rentre pas franchement dans ces catégories la. Et comme pas mal de job bien payé.
Non, c’est seulement le titre « ingénieur diplômé » qui est soumis à l’agrément de la CTI.
Mouais, mais n’oublions pas les fondamentaux et l’échéance de fin 2025 : plus de support Win10.
Ce n’est pas Win12 qui va assurer l’avenir des postes de travail quand on voit les specs imposées pour Win11 auxquelles il faudra ajouter celle de l’IA pour Win12 (proc avec IA, abonnement Azure obligatoire etc …).
Bref, faire joujou avec un stock de requêtes à balancer dans une IA, c’est rigolo mais ça ne permet pas de garantir d’avoir des postes de travail à jour pour tout le monde. M’est avis que les ingénieurs en capacité de migrer les parcs de postes de travail Windows sous Linux ont plus d’avenir que les prompteurs. Ce n’est que mon avis.