Commentaires : Impuissante, la communauté spatiale observe deux anciens satellites se frôler en orbite basse

50m par 50m ca fait 2500m2 par 2,5km2 (1km2=1.000.000m2 soit 1000m au carre). De plus prendre la surface du disque n’est pas le plus adapte vu que les satelites orbites et donc restent sur la circonference du cercle (bon c’est pas tout a fait un cercle mais c’est l’idee)

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Va expliquer ca à ce fou furieux de Musk et ses milliers de satellites totalement démagos, inutiles et dangereux !

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C’est déja arrivé par le passé justement parce qu’il n’y avait à l’époque pas de surveillance ou très peu. Maintenant on arrive à prédire un risque plusieurs jours à l’avance. Pour rappel la dernière fois c’'était en 2009, il y a 11 ans …
Mais comme je le disais pour les sat morts, qu’on ne peut pas déplacer il n’y a rien à faire à part attendre qu’ils retombent. Les projets de sat remorqueurs n’ont jamais été au dela de simple projets ou proto.
Quand aux nouveaux sat ils respectent quasiment tous le fait qu’en fin de vie une réserve garanti que le sat soit placé sur une trajectoire de retour rapide dans l’atmosphère.
Arrêtons de paniquer parce qu’il y a eu un risque de collision, et que des débris entraineraient une réaction en chaine, ça c’est une fausse idée véhiculée par le film Gravity.
L’ESA avait publié un rapport disant que pour un débris de 1cm les risques moyens entre deux impacts étaient de 1200 ans à 400km (ISS), 250 ans eà 800km et 3000 ans à 1500km. Ce tableau et le lien son dispo sur le wiki dédié au sujet des débris spatiaux.

Il faut bien se mettre dans le crane que l’orbite c’est énorme, c’est en 3 dimensions, avec des volumes immenses et que meme 42000 sat ou débris c’est rien comparé à ce gigantesque volume. La probabilité de choc est très improbable mais pas nul, oui ça peut arriver.
Statistiquement il y a 100 plus de risque de voir deux avions se percuter en vol que deux sat.

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Pour ceux qui penseraient que les possibilités de choc entre des satellites n’est pas considéré comme importantes par les Agences Spatiales se trompent lourdement.

De nombreux programmes collaboratifs entre Agences travaillent sur ce problème : tous à un stade de projets présentement car aucune solution ne se montre assez efficiente (ou raisonnablement économique). Cela est un vrai frein pour l’exploration spatiale, ou tout simplement la mise en circulation de nouveaux satellites.

Non pas que le risque d’une collision soit particulièrement élevée, mais plutot parce qu’au rythme des lancements, on ne peut plus se permettre de ne pas avoir une approche globale de la situation.

Lorsqu’en 2019 l’Inde a détruit un vieux satellite par missile pour montrer à ses voisins sa capacité ballistique, les débris se sont propagés sur plusieurs « couches » et sont devenus impossible à suivre avec précision. Les Agences étaient très stressés (le mot est faible). L’Inde s’est excusée d’ailleurs (mais le mal était déjà fait).

Y a pas que l’Inde, la Chine aussi a procédé à des destructions de sat par des missiles.
des projets de nettoyage existent, mais ça reste du projet ou du proto car trop cher à mettre en oeuvre vu le nombre de sat inactif en orbite
La meilleure chose reste à mettre en place une obligation de rendre un sat kamikaze en fin de vie, en imposant une réserve de carburant pour sa désorbitation ou son déplacement en zone sûr. Il n’y a aucun accord à ce jour, mais on y arrivera, et en fait de nombreux pays et constructeurs de sat ont pris les devant et font déja ce genre de chose, depuis quelques années, de plus ne plus de sat ont une réserve dédiée à leur désorbitation.
Pour les vieux sat inactifs, les plus dangereux en orbite basse retomberont dans les 20 ans à venir dans l’atmosphère pour y etre brulés, les autres plus haut représentent bien moins de danger vu leur nombre plus restreint et le volume orbital bien plus grand.

Bref il faut imposer une règle de desorbitation obligatoire avant la fin de vie d’un sat, meme si cela se fait déjà de plus en plus sur les sat. c’est la seule solution viable.

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On les a envoiyer on peut allez les rechercher aux lieux de les laisser. Le ciel est devenu une décharge pas étonnant. Autant les reprendre et pourquoi pas les recycler

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