Et n’oubliez pas de vérifier la pression de vos pneumatiques
Si c’est rouler sur la neige ou la glace, c’est pas forcément idiot de les gonfler au minimum possible, de sorte à avoir une plus grande surface de contact au sol.
Et n’oubliez pas de vérifier la pression de vos pneumatiques
Si c’est rouler sur la neige ou la glace, c’est pas forcément idiot de les gonfler au minimum possible, de sorte à avoir une plus grande surface de contact au sol.
D’ailleurs, ça fait plusieurs décennies que les camions et les autocars à moteurs thermiques (non hybrides) sont équipés de freins électriques (rhéostatiques) à puissance gérable manuellement par un simple levier cranté près du volant, des freins qui aident à ne pas faire surchauffer ceux mécaniques et pousser le liquide de frein à ébullition
C’est impossible de faire bouillir le liquide de frein sur un bus ou un poids-lourd vu qu’il n’y a pas de liquide de frein.
Et on notera qu’il n’y a pas que le ralentisseur rhéostatique, on a aussi des ralentisseurs hydrodynamiques, mais a priori c’est assez rare aux États-Unis où l’on préfère le frein Jacobs ou équivalent, qui modifie le comportement des soupapes de sorte à utiliser le moteur comme un compresseur. Sur un gros moteur, ça peut être très efficace.
régime moteur bas pour les moteurs thermiques
Là ça dépend. En côte avec une charge importante, on va souvent préférer garder un régime moteur assez haut, de sorte à pouvoir anticiper un rétrogradage.
Euh … météo à Chetwynd, Bretagne-de-Colombie, et sa région aujourd’hui (19 novembre) : -15° à -18°, neige toute la journée.
Alors pour le frein moteur, tu l’as aussi sur les automatiques : tu as des palettes au niveau du volant qui permet de passer les vitesses et tu as même carrément un mode manuel sur la plupart (toutes ?) des automatiques. Donc tu peux aussi utiliser le frein moteur sur une automatique (que ce soit en passant en mode manuel ou en utilisant provisoirement les palettes).
Quant aux voitures électriques, elles ont le freinage régénératif dont tu peux modifier la performance et qui a le même effet, à peu de choses près, que le frein moteur, en fait.
De toute façon, ce qui est clair : sur route gelée, quel que soit le mode de freinage, si c’est mal géré, l’histoire se finit mal.
C’est jouer avec les mots (ou couper les cheveux en quatre):
Si l’ABS relâche le frein, c’est bien qu’il décide de ne pas freiner la roue en question tant que la rotation n’est pas rétablie, c’est échantillonné plus de 100 fois par seconde.
Sur les BMW de 1992 , il y avait une secousse importante lors du déclenchement de l’ABS, dans les modèles suivants, c’était devenu imperceptible et, du coup, beaucoup de motards abusaient des limites en le déclenchant tout le temps alors que, selon moi, c’est plutôt un joker pour éviter la gamelle, pas un gadget pour prendre plus de risques en permanence.
Pour ce qui est de l’endroit où l’on veut s’arrêter avec précision, en moto à 40 ou 50 Km/h, avec l’habitude l’on connaît exactement sa distance de freinage sur le sec. Bien sûr, si l’on veut s’arrêter à côté d’une voiture au feu rouge mais que la moto ne s’arrête pas en raison d’une flaque glissante noirâtre qui se confond avec la couleur du bitume, c’est une surprise déplaisante mais sans chute grâce à l’ABS alors que rattraper une moto de 315 kg qui bloque sa roue arrière, c’est très chaud, rien à voir avec une moto de 180 kg seulement.
Pourquoi , les articles que je lis sur les voitures électriques n’ont rien a voir avec ce que je vis au quotidien dans mon VE ?
Exact, freins à air avec compresseur