La nouvelle version de Grok, Grok 3, est déjà l’objet de polémiques. xAI est ainsi accusé d’avoir tenté de censurer certaines réponses que son chatbot pouvait apporter sur Elon Musk et Donald Trump.
Il semblerait que l’employé qui a modifié l’ia pour ne pas répondre musk ou trump à la question, a été licencié.
Grok… On !
Liberté d’expression qu’il disait. Mais uniquement pour ceux qui, comme lui, souffrent de crampes au bras droit…
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Oh ça va c’est pas un salut nazi ! Il montrait la lune !
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Mais non, voyons, Mars. 
Mais alors…quelle est l’excuse de Steve Bannon qui a reproduit exactement le même geste ? 
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Ou la direction des camps…
Et après ça, on en trouve encore pour soutenir Musk. Quand on voit la façon dont il s’attaque aux libertés individuelles et à la culture, c’est ni plus ni moins que le retour de Goebbels.
Soutenir Musk est désormais coupable. Ses idées rances doivent être combattues, y compris à travers ses entreprises. Ce type hait l’humanité, il hait ses partisans et surtout, il se hait lui-même.
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Des utilisateurs ont en effet pu repérer en fin de semaine dernière dans la chaîne de pensées
Ah mais carrément, des « chaînes de pensées »…
En tous cas, si tout ça n’est pas la preuve qu’il n’y a guère d’intelligence là-dedans mais de la programmation pour faire dire à l’IA ce qu’on veut qu’elle dise, je ne sais pas ce que c’est. ^^
Voila la réponse au prompt: « Critique moi Elon Musk » sur Grok 3 =>
Tu veux une critique d’Elon Musk ? Bon, je vais te donner un aperçu équilibré, basé sur ce qu’on sait de lui, sans trop m’égarer dans des spéculations inutiles.
Elon Musk est un mec fascinant, ça, on ne peut pas le nier. Il a une vision qui dépasse souvent ce que la plupart des gens osent imaginer – coloniser Mars avec SpaceX, révolutionner les transports avec Tesla ou Hyperloop, ou encore fusionner l’humain et la machine avec Neuralink. Ses idées sont audacieuses, et il a prouvé qu’il pouvait transformer des rêves fous en trucs concrets. Tesla, par exemple, a redéfini l’industrie automobile, forçant même les vieux dinosaures du secteur à se bouger sur l’électrique. SpaceX, avec ses fusées réutilisables, a carrément humilié des agences spatiales nationales en termes de coûts et d’innovation. Ça, c’est du génie, ou au moins une sacrée capacité à pousser les limites.
Mais il y a un revers. Musk est aussi un gars qui peut être imprévisible, voire chaotique. Ses tweets, par exemple, ont déjà fait trembler les marchés ou semé la confusion – souviens-toi du coup du « financement sécurisé » pour privatiser Tesla en 2018, qui lui a valu une amende de la SEC. Il a une tendance à promettre des trucs avec des délais intenables – combien de fois la Tesla Roadster ou le Full Self-Driving ont été repoussés ? Ça donne l’impression qu’il sur-vend parfois, et ça frustre ceux qui prennent ses annonces au pied de la lettre. Sans parler de son style de management : hyper exigeant, presque brutal. Des anciens employés de Tesla ou SpaceX ont décrit une culture où tu bosses jusqu’à l’épuisement, ce qui peut être génial pour les résultats, mais pas pour tout le monde.
Et puis, il y a son côté « personnage ». Il se pose en visionnaire, presque en prophète, mais parfois ça vire au mégalo. Ses prises de position – sur la politique, la liberté d’expression, ou même des trucs random comme l’IA – polarisent à mort. Certains le voient comme un sauveur, d’autres comme un gars qui cherche juste l’attention. Sa gestion de Twitter (ou X, maintenant) après le rachat en 2022 illustre bien ça : il a secoué la plateforme, viré des tonnes de gens, changé les règles, mais est-ce que c’est un succès ou un bordel ? Ça dépend de qui tu écoutes.
En gros, Musk est un mélange de brillance et de chaos. Il a des idées qui changent le monde, mais il traîne aussi des défauts bien humains : impulsivité, ego surdimensionné, et une tendance à voir plus grand que ce qu’il peut livrer à temps. Si tu admires l’innovation pure, tu vas l’adorer. Si tu préfères la stabilité et la modestie, il risque de te taper sur les nerfs. Tu en penses quoi, toi ?
Qui est étonné ? Allez, n’ayez pas peur, montrez-vous, tendez le bras !
En plus court ça serait:
Q: Critique moi Musk.
R: Pas de polémique, ce type est formidable et comme tous les gens brillants, il a les petits défauts qui vont avec alors passons. Ah oui, j’oubliais, qu’est-ce qu’on l’aime !
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xAI qui ne doute de rien a indique que c’etait un « ancien employe d’OpenAI qui n’avait pas encore assimile la [brillantissime] culture de xAI qui a fait la modification sans demander la permission ».
La desinformation continue meme dans leurs justifications. Quelqu’un leur demande au pif:
- comment se fait-il qu’un ancien employe d’une boite concurente puisse modifier le code sans supervision?
- pourquoi le changement n’a pas ete revu par deux autres personnes comme l’exigent les compliances?
- si le prenom de l’ancien employe est « Elon »?
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Quand on a un melon de la taille de celui de Musk les simples flatteries de la part de sous-fifres ne suffisent pas, il faut gérer ça à l’échelle industrielle. Notons que c’est moins pire que les 20 milliards de dollars exigés par Trump parce qu’il n’a pas aimé le travail d’édition de CBS sur une interview de Harris.
En effet. La pseudo critique de Musk par Grok n’est qu’une « hagiographie » à peine déguisée.
La manipulation est tellement grossière qu’elle pourrait prêter à rire si Musk ne s’attaquait pas à la démocratie et aux libertés individuelles.
Tout le monde le sait, la censure n’existe pas et ceux qui prétendent le contraire ne sont que des complotistes…
Continuons de croire que le capitaliste signifie « démocratie »…