Commentaires : Grand Central Arena : la vie, c'est comme un saut dans l'hyper-espace

Ha les combats en arène, les gladiateurs qui se tatanent joyeusement au milieu de la foule en délire, les lions déchaînés qui n’attendent qu’une erreur pour casser la croûte… Tout ça, c’est le bon vieux temps. Enfin, pas si vieux que ça. En fait, c’est même ce qui nous attend dans l’avenir avec Grand Central Arena, mais à une échelle qui ferait passer le Grand Colisée et ses combats sanglants pour une construction Lego. Il n’y a pas à dire, le futur c’est vraiment chouette !

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Ça fait pas mal de temps que je l’ai lu. Au moins 3 ans. Assez classique dans son déroulement, très peu de surprises, et un défaut assez agaçant. Autant dans « Year Zero » de Robert Reid, c’est drôle à dessein, ou dans la série « Sillage » de Morvan et Buchet c’est intelligemment introduit, ici, on tombe dans les travers de la science-fiction dite classique : dans l’histoire, les êtres humains ont une faculté très particulière en comparaison de toutes les autres espèces qui leur donne un avantage important en terme de scénario. Un problème ? Hop, l’auteur fait appel à cet avantage dans le sens des personnages. Un Deus ex Machina sous stéroïdes.