La relation entre NVIDIA et les éditeurs semble de plus en plus compliquée en ce qui concerne GeForce Now…
Ils pensent qu’au fric … je ne comprend pas en quoi c’est différent que d’avoir PC chez soi. Si je veux jouer à un jeux sur un Raspberry pi, je n’ai pas besoin de l’accord de l’éditeur pour le faire, en quoi utiliser une solution comme Geforce Now est différent ?
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le principe (comme les méthode d’Apple qui veut prend 30% sur toutes applications payante ou part abonnement)
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il y a l’école qui consiste à dire que la plate forme donne accès à certain jeux pour les foyer qui non pas de console récente ou PC capable -> donc bénéfique pour les Editeurs
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Revendre deux ou trois fois le même jeu (oui un peut débile)
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l’hypothèse qui semble la plus probable stadia & GamePass qui paye mieux
le model Shadow-PC qui est un vrai PC à disposition qui dispose d’une licence Windows (volume) de plus chaque jeu est installer individuellement
<<<qui pour autant à était éjecter de iOS le seul System Propriétaire & fermer à toutes ventes non partager ,qui souvent équivaut à tes bénéfice >>>
Au final la gestion des ressources sont pas du tous les même
Dommage le model Nvidia est potentiellement la meilleur
j’ai comment tous le monde les 90 jours ,malheureusement je vais par renouveler (5€49)
Shadow j’aimerais bien mais trop d’attente et les 256Go limite trop (enfin je réfléchis)
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Vu que quand le GeForce NOW était en bêta gratuite, il n’y avait pas de problème, inutile de dire que ce que veulent les éditeurs, ce sont des thunes
Remarque pour Clubic : GeForce Now n’est pas une plateforme, mais un service
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Mais en quoi un éditeur de jeux vidéo en à faire de comment sont géré les ressources par l’utilisateur ? J’achète un jeu, si je le fait tourner sur linux sur un serveur dédié avec un emulateur alors qu’il n’est pas compatible normalement, je ne suis pas dans l’illégalité.
Ce serait rigolo de voir Nvidia empêcher l’exécution de certains jeux sur leurs cartes graphiques du jour au lendemain …
Difficile à dire, ça dépend totalement du CLUF associé au jeu (oui, le gros pavé de texte que personne ne lit ^^ )
Après, évidemment, il n’y aura pas d’agent de la police des jeux vidéo qui va venir taper à ta porte parce que tu fais tourner le truc sur Linux, mais affirmer que c’est légal, c’est pas mal s’avancer ^^
Alors ce que ne dit pas l’article, c’est qu’il y en a davantage qui sont partis.
Il sont effectivement 3 à être partis depuis le lancement en version final et payant de Geforce Now.
Mais avant cela, durant plus d’un an de béta gratuite, ils sont 6 à avoir mis les voiles. Ce qui porte le nombre de boîtes en désaccord à 9.
Donc l’argument de la gratuité qui ne posait pas problème ne va pas.
N’oubliez pas que tous les services de cloud gaming (PS Now, xCloud et Stadia) semblent payer ces éditeurs pour avoir ce droit de diffuser leurs licences.
Les accords entre les éditeurs et Steam ne comprenaient pas Nvidia. C’est en tout cas ce qu’avancent ces éditeurs.
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