Je n’ai pas parlé de catégorie sociale. Ces voyous sont liés par le désœuvrement et les trafics en tout genre. Ça n’en fait pas une catégorie sociale.
Le mot xénophobe est bizarre. Je n’ai pas parlé d’ethnie ou d’étrangers. Les racailles sont françaises dans leur immense majorité. C’est en France dont elles parlent la langue qu’elle vivent et qu’elles ont grandi. Ce n’est pas une nouveauté : en 1850 les voyous terrifiaient les parisiens, on a eu les apaches qui jouaient du couteau, les blousons noirs etc. De tout temps, on a du faire avec des malfaisants bien de chez nous, et c’est encore vrai aujourd’hui.
Demander un minimum d’ordre, de respect du bien commun et vouloir protéger sa famille, donc supporter la police dont c’est la mission parfois très difficile, n’est pas d’extrême-droite ni raciste. Ça devrait être universel dans un monde civilisé.
Non, je compare la partie arrivants de plusieurs établissements pénitentiaires, et donc le contact entre prévenus (et pas délinquants ni criminels, ça c’est APRÈS le jugement) et police / gendarmerie.
Les réseaux sociaux sont un fléau pour la jeunesse.
Une mode passe sur tel réseau, tous les gamins s’y mettent pour faire comme tout le monde, parce que ça fait bien.
Là ça fait bien de faire brûler, casser, parce que c’est la mode du moment, alors qu’ils ne connaissent pas personnellement le goss qui a été tué, ne connaissent même pas où est situé Nanterre sur une carte, et n’ont aucun lien avec la cité.
Dans la campagne voisine de chez moi, les gosses font brûler les bottes de foin, et les prés.
Quel intérêt ?
À quoi ça leur sert ?
Les agriculteurs ont un lien quelconque avec cette histoire ?
En + de se servir de cette info qui nous bassine quotidiennement, ils profitent pour faire chier leur monde, ce sont juste des petits cons qui n’ont pas pris assez de baffes étant jeunes.
J’ai jamais dit qu’elle y avait fait grève, et comme manifestement il faut faire des explications de texte, mon propos est qu’elle a grandi dans une société qui se souvenait ce qu’était le quotidien avant. Et que les apports de ces événements ont été gagné avec une forme certaine de violence. Je ne la légitime pas, mais elle est intimement liée à toutes les avancées, et reculées d’ailleurs, de toute société.
C’est ma réponse postée plus haut. Je suis, j’imagine, de ces complotistes que vous citez avec autant d’aplomb que d’arguments intéressants. Et je lis les réponses à mes commentaires, par contre. Je ne suis pas un cowboy du clic.
Quelle liberté ? Il n’y a pas moins de liberté aujourd’hui qu’il y a, mettons, 50 ans : on peut dire à peu près ce qu’on veut du moment qu’on ne blesse personne, on peut même faire à peu près ce qu’on veut du moment qu’on ne gène personne. Sur un plan plus formel, on choisi toujours nos dirigeants à intervalle régulier. Alors quelle liberté disparait ou est en passe de disparaitre ?
Celle d’estimer avoir le droit de faire n’importe quoi, que ça gêne ou non les autres. ^^
Mais ce que ceux qui pensent comme ça oublient, c’est que si tout le monde faisait ça, la société serait tout simplement un enfer régi par les lois de la jungle et du plus fort.
Ca me rappelle une discussion autrefois avec un collègue de travail.
Lui : On devrait pouvoir être armé comme aux USA, mon voisin n’oserait plus m’emm.rder.
Moi : Sauf qu’il serait armé lui aussi…
Lui : Alors j’appellerais mes potes.
Moi : Et il appellerait les siens…bref, la loi du plus fort, et qui te dit que ce serait toi ?.
