À voir le contrat de travail et les accords. Mais souvent les patrons ont la possibilité de demander à revenir, ils ne sont pas cons ceux qui font les accords. Mon ancienne boite, c’était" jusqu’à 4TT par semaine, mais possibilité du responsable hiérarchique de demander à faire du full présentiel, comme le client".
Bref, il manque un truc dans pas mal d’école d’inge c’est lire un contrat et suivre les accords signés entre directions et syndicats, au lieu de jeter les mails des syndicats.
Donc au final bien fait pour ceux qui se pensent plus malins. Même si l’Amazon se fait prendre à son propre jeux, rien que 2 jours de TT aurait permis de trouver pas mal de gens à virer.
J’ai fais 1 boite 1 jour max de TT par semaine car le BE civil ont a pas trop de risque , mais le BE en zone securisé eux 0 TT, et les ateliers 0 TT, donc les chefs et direction ne souhaitaient pas créer une trop grosse disparité entre salarié.
Et une autre boite 4 jour de TT, et les projets n’avançaient pas, les gens ne se connaissent pas, on ne connait pas les compétences réelles des collègues, à aider sur des soft de design via teams ou autres, c’est le bordel,… aux debut du TT les gens se connaissaient et avaient un rythme maintenant, c’est mort. Et je suis loin d’être un employé modèle je fais le job qu’on me donne dans les temps, c’est tout après je me barre, mais il faut être objectif, perso 2 TT ok ou 3TT c’est max
Le problème n’est pas le même en Francer et aux Etats Unis!
Là bas, la raison du licenciement, ça peut être « je ne t’aime pas » et ça passe. Et que tu démissionnes, que l’on te foute dehors du jour au lendemain (la notion de préavis n’est pas courante) pour incompatibilité d’humeur ou pour raison économique ne change pas grand chose. En France, il faut que tu refuses un truc « grave » ou qui est dans ton contrat de travail pour que ton licenciement puisse se faire sans cout pour l’entreprise, et là
la fin du télétravail « exceptionnel » peut être « pratique » pour l’employeur.
Depuis quand il est obligatoire de loger près de son lieu de travail ? C’est fini les cités dortoir collées à l’usine. Le travailleur n’appartient pas à son patron. Ce qui est idiot c’est ta réponse. Le reste est plutôt dramatique pour les personnes concernées et quelques soit leur « salaire parisien ». Il faut pas non plus se leurrer, c’est bien évidemment un plan de licenciement déguisé et un très mauvais calcul du PDG. Pour reprendre ton raisonnement un salarié parisien qui logerai en Bretagne verrai son salaire doublé avec le remboursement des frais kilométriques s’il devait faire la route chaque jour.
Par qu’il pense au déjeuner d’équipe, la pause à la machine à café plutot qu’à un appel téléphonique par Team. Il m’arrive d’appeler des collègues par Teams pour parler de tout et de rien mais il est vrai que ce n’est pas tout à fait la même chose qu’autour d’un café
Mon pauvre, tu ne connais rien au monde du travail et encore moins aux conditions de remboursement des frais kilométriques. Si tu as signé un contrat de travail dans lequel il est indiqué que ton lieu de travail est « La Défense », tes déplacements domicile ↔ La Défense sont à ta charge. Et donc, si tu décides dans le cadre du télétravail de t’installer sur les cotes bretonnes et que ton employeur demande à te voir ou demande un retour sur site 3 jours par semaine, les frais de déplacement Bretagne / La Défense sont à ta charge.