Commentaires : Fin de Kapitano, un antivirus prometteur pour l’écosystème Linux

À peine lancé, déjà abandonné. Kapitano, une interface moderne pensée pour simplifier l’utilisation de l’antivirus ClamAV sur Linux, ne sera pas maintenu plus longtemps.

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Une app libadwaita qui commence par un « K » ?
Attention, les k sont la chasse gardée de KDE Gear…
Le dev a dû subir un trolling massif du klan des kde-iens :joy:

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Ben, j’utilise clamAVtk et ça fait le café, donc un Gui pour ClamAV ça existe déjà^^

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KDE Kombat Klan ?

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J’ai un antivirus (probablement ClamAv) packagé à l’interieur de ma passerelle antispam Proxmox Mail Gateway et il me trouve un virus en réception tous les 1 million de mail à peu près !
Mais il ne me viendrait pas à l’idée d’installer ClamAv sur un serveur de fichier Synology (même sur un modèle rackable avec un Xeon et des SSD) pour plomber les performances, puisque de toute façon il ne me protégerait certainement pas contre une attaque zéro day. Je compte bien plus sur les snapshots en BTRFS et les sauvegardes différentielles distantes (déconnectées après la sauvegarde) que sur cet antivirus.

ClamAV n’a rien de compliqué a utiliser, et si on veut une interface graphique il y a ClamTK qui fait le job parfaitement

effectivement c’est la ref, par exemple pour pfsense par defaut ( greffon kaspersky possible), ou Artica (sorte de pfsense proxy transparent dédié à l’éducation nationale), en même temps il n’y a pas des masses de solutions, sinon la possibililté de n’importe quel AV qui tournerait via Wine

Sinon quelques EDM spé Docker ici :

De son côté, le code source a été publié dans le domaine public sous licence The Unlicense

Un peu fumeux à comprendre là.
Le projet n’était pas déjà open-source ?
Et j’ai toujours un peu de mal avec les projets « open-source » qui boudent la GPL…

Sous GPL, ce n’est pas dans le domaine public. Ça reste une licence, dans le cadre de laquelle les propriétaires des droits d’auteur du code confèrent aux utilisateur un ensemble de droits et de devoirs vis à vis de ce code, tout en restant les propriétaires.

L’Unlicense, elle, déclare que le code est promu dans le domaine public.

Quand au fait de bouder la GPL, c’est une licence qui impose certaines restrictions, il peut être tout a fait légitime de vouloir publier le code sans ces restrictions. Et il peut aussi se poser des questions simplement de validité de la licence dans le droit local. C’est une licence pensée avant tout pour le droit américain, même si elle a pu être prise en compte dans des affaires judiciaires dans d’autres pays (notamment en France), ça peut parfois poser problème. D’où par exemple les licences EUPL, compatibles GPL et garantissant une compatibilité avec le droit de l’UE, ou la licence CeCILL avec le même objectif en regard du droit français.

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C’est le K K Klan?

Je me demande si le développeur du terminal kitty (immensément plus populaire) subit aussi de telles attaques :rofl:

Plus sérieusement, il y a plein de projets où le « bus factor » est égal à 1, ou qu’il y ait des discussions inflammatoires ou des attaques qui semble ciblées comme ici (« LoucheBear » semble avoir créé un compte exprès pour cela) pour faire en sorte que le dév abandonne.
D’un autre côté, les repositories d’applications comme flathub ont énormément de paquets non vérifiés. Ca ne donne pas confiance pour le premier venu.

Aucun rapport. C’est juste un jeu de mot qui revient souvent. La désEncyclopédie a fait un article désopilant dessus, mais visiblement les modos n’aiment pas.