Commentaires : Facebook et Twitter poursuivis par la Russie pour avoir hébergé des vidéos contestataires d'Alexei Navalny

Les autorités russes poursuivent en justice Facebook et Twitter, mais aussi Google, Telegram et TikTok. Ces sociétés risquent des amendes pour avoir hébergé des vidéos jugées illégales par la Russie : des images des manifestations exigeants la libération de Alexeï Navalny, leader de l’opposition et critique de Vladimir Poutine.

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Elle est pas pire qu’ailleurs.
Et même chez nous on a une lois qui permet de censurer (sous couvert de fake news, la nuance est là). Et en revanche dans d’autre pays démocratique (USA X-) ), ce sont les réseaux sociaux qui font leur lois (en censurant un chef d’état)…

Perso, que la Russie attaque ces réseaux, moi,ça ne me choque pas plus que ça: c’est un autre pays, avec ses lois et sa culture bien différentes de la notre. Faut pas chercher.

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Bravo la liberté des GAFA doit être extrêmement controller a la frontière numérique de tout les pays du monde, quitte a les bannir définitivement, trop de liberté tue la liberté :slight_smile:

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Vous préférez laisser aux GAFA la liberté de censurer arbitrairement un président aussi puissant que celui des USA ? Mais Poutine aurait passé un coup de fil et les FAI auraient bloqué Twitter illico. C’est ça le vrai pouvoir…

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@Kike très cool ca merci.

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Tant mieux cela me penser à la façon dont Twitter à exclu Trump.
Mais en Russie ce n’est pas la même.

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Une autre version des faits

Quand on dit de la merde comme ce gros blond qui était à la tête d’une énorme puissance, je suis pour, on reviendra pas la dessus, j’en ai marre de parler à des QAnon…

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En réponse à lawyer
Mais personne ne vous a rien demandé…

Peut-être une intuition parce que je ne le savais pas. C’est un bon début…

Que de fausses informations dans cet article d’une part ce Navalny n’est en rien un opposant à Poutine, dans la perspective de l’élection présidentielle de 2018, les sondages lui octroyaient entre 2 et 3% des suffrages alors qu’ils en octroyaient entre 5 et 7% à Vladimir Jirinovski et au représentant du Parti communiste.
Il y a des grands partis d’opposition en Russie (dont l’un compte plus de 2 millions de membres) mais celui de Navalny n’en fait pas partie, du reste, lors de l’élection présidentielle de 2018 en Russie, Vladimir Poutine l’a emporté avec 76,69% des suffrages contre Pavel Groudinine (Parti communiste) qui a obtenu 11,77% des suffrages, Vladimir Jirinovski (5,65%) et 7 autres candidats. Il a aussi pris des positions d’extrême-droite à de nombreuses reprises (proposant de régler le problème des Tchétchènes à coup de pistolet, etc.), ce qui lui a valu d’être exclu du parti d’opposition Iabloko en 2007. (cf. Alexeï Navalny — Wikipédia)
Pour l’empoisonnement, rappelons que Sergueï Skripal et sa fille Ioulia, qui auraient été empoisonnés avec du Novitchok en Angleterre en mars 2018, sont sortis sains et saufs de leur hôpital britannique en avril 2018, mais que nul n’en a plus jamais entendu parler depuis. De plus il est prouvé par l’un des concepteurs de l’agent toxique connu sous le nom de Novitchok qui a expliqué que la personne empoisonnée par cette substance aurait succombé au bout de quelques instants et que le neurotoxique ne pouvait pas être utilisé contre une personne en particulier mais était capable d’éliminer toute une unité militaire. Ainsi, explique-t-il, la personne atteinte affiche des symptômes tels que le myosis, des convulsions. Au bout de quelques minutes, elle décède. Et si ce sont les autorités russes qui ont commandité et organisé l’empoisonnement de Navalny, pourquoi ont-elles donné des visas aux médecins allemands et accordé un plan de vol à l’avion de l’ONG Cinema for peace pour qu’ils viennent chercher le malade et qu’ils le transfèrent en Allemagne ?
Et cela au risque de voir l’Allemagne affirmer que Navalny avait été empoisonné, ce qui vient exactement de se passer.
C’est l’une des plus grandes invraisemblances de toute cette histoire : si Vladimir Poutine avait décidé d’empoisonner Navalny, jamais, au grand jamais, il n’aurait autorisé le transfert du malade en Occident, au risque de se faire démasquer.
Et enfin cerise sur le gâteau les réseaux sociaux outils de dissidence en Russie, ok vous feriez mieux de regarder la poutre qui est dans l’oeil du gouvernement Français et autres gouvernements vassaux des USA que de regarder la paille de celui des Russes…

En conclusion Trump n’est plus là, faut bien un nouveau souffre douleur, and the winner is… Poutine.

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Quand ces mêmes réseaux sociaux révoquent un compte de façon unilatérale (pour des raisons pour le moins subjectives ou discutables), c’est pas très démocratique non plus. Mais on a ce qu’on mérite, c’est le revers de la médaille de confier la garantie de la liberté d’expression à des société privées… Ca leur fait pas de mal, de se faire secouer un peu de temps en temps, pour leur montrer qu’elles ne sont pas toutes puissantes.

Un dissident artificiel. Les occidentaux à chaque fois qu’ils font l’éloge d’un changement, au final c’est pour les intérêts d’une minorité de gens très riches.

Quand on voit le bilan de leurs interventions ( Syrie, Irak, Lybie) ils ne sont pas vraiment en position de donner des leçons. À l’opposé que ça plaise ou non Poutine à fait passer la Russie d’un état proche du tier monde à grande puissance.

Enfin on voit ici les technique de com bien rodé: Opposition, dissident, censure…quand ça sert leur intérêt. Par contre chez nous , les contestataire qui dérangent on qualifie ça d’ extrême droite , et autre adjectif en« iste » ou «phobe». La censure se transforme en « régulation » « modérations ». Ben voyons.

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du buzz pour poutine et son pays, l’amende amicale sera de 200 roubles :wink:

La Russie devrait être aussi poursuive pour avoir cacher un fuite radioactif aux européens .

Tout à fait d’accord. De plus, le Novitchok était produit en Ouzbekistan, pays qui après s’être séparé de la Russie a demandé à l’armée US de démanteler l’usine de production. Nul doute que les américains ont conservé les barils de Novitchok pour des actions comme celle de Skripal et Navalny. le lien du N.Y.T du 25 mai 1999 concernant l’armée US et le Novitchok:

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À partir du moment où on commente, faut s’attendre à avoir des retours…

Jusqu’au moment où les retours virent aux insultes lorsque quelqu’un n’est pas d’accord…

je ne mange pas de ce pain la :wink: