Cette fois au moins, les équipes de recherche sont prudentes sur leur découverte. Certains annoncent déjà la « saison 2 » de la saga du LK-99, à la recherche d’un supraconducteur idéal, fonctionnant à des températures et pressions raisonnables. Une course qui n’a en fait jamais levé le pied depuis l’été dernier…
Les IA vont bien finir par trouver les bons « metamateriaux » non ?! C’est qu’une question de temps.
Et donc la boucle sera bouclée.
l’IA va faire le café !
l’IA exploite une base de connaissances etalies, s’il n’y a rien de probant dans un domaine, elle ne peut inventer. On vous répète que l’IA n’est pas intelligente, vous avez du mal à le comprendre.
Extrapoler c’est pas possible, on ne peut que supputer qu’entre deux valeurs il y a une certaine continuité…
Après appréhender une problématique avec toute la connaissance humaine, là l’humain est hors circuit. l’IA le bât toujours, c’est juste un outil.
Le I de IA est du marketing…
Le principal problème des superconducteurs à haute température (comprendre les matériaux qui sont superconducteurs et qui n’ont besoin d’être refroidi qu’à l’azote liquide), c’est que ce sont essentiellement des sortes de céramique, dont on ne peut pas faire de câbles parce qu’ils sont trop cassants.
pas intelligente ? Et la crème quantique de Guerlain vous allez nous dire qu’elle n’est pas quantique ?
Tous les supraconducteurs intéressants (pouvant fonctionner à température « élevée » et pression faible) découverts à ce jour sont des supraconducteurs non conventionnels, dont on ne sait pas physiquement pourquoi ils sont supraconducteurs.
Du coup, l’origine de cette supraconductivité est impossible à modéliser pour faire des simulations, seule des expériences réelles permettent de la mettre en évidence.
C’est un problème uniquement si tu te limite aux applications qui en on besoin.
Mais un matériau de ce type promet une révolution sur les moteurs électriques, le ordinateur classique et quantique, le domaine des équipements de labo, l’électronique de puissance…
Sauf beaucoup de ces applications nécessitent des enroulements de câbles qui ne peuvent donc pas être realisées dans ces matériaux.
Il y a des enroulements car le matériau favori est le cuivre.
Ces enroulements peuvent êtres remplacés par des formes similaires réalitées en injection céramique par exemple.
La fonction ne demande pas de flexibilité donc la céramique est utilisable, il faut « juste » adapter le process.
En réalité le problème est l’utilisation du plomb…