C’est quasiment inédit. Pendant 3 ans, une vulnérabilité critique s’est nichée dans le logiciel chargé de sécuriser les communications entre la Terre et des missions de la NASA, sans que personne ne la voie.
Marrant, les hackers n’y avaient jamais pensé.
Maintenant, ils vont y penser, en particulier certains États (suivez mon regard).