La Suède frappe un grand coup. Dès le 1er juillet, les personnes qui achèteront du contenu sexuel personnalisé en ligne s’exposeront à une peine pouvant aller jusqu’à un an de prison.
Du coup pleins de sites de webcam deviennent de facto illégaux en Suède.
Le résultat de la criminalisation des clients des prostituées: explosion du nombre d’agressions et de viols. C’est un comble quand on sait que les suédois, comme les danois, ont inondé de magazines et de films pornos tout le reste de l’Europe dans les années 60-70.
Par ailleurs, les suédois commencent à se rendre compte que leur politique consistant à vouloir intégrer des gens de cultures diamétralement opposées à échappé à tout contrôle et devient ingérable. Les gangs utilisent des mineurs très jeunes et n’hésitent pas à dynamiter des immeubles où habitent leurs concurrents.
Oui et à ça tu peux également ajouter qu’un nombre évident de " créateurs de contenus" (lol ???) sur OnlyFans peuvent très bien ne pas être exploités par des réseaux à la con ( qui existent ça oui …) mais tout simplement grâce à la sale modernisation de la culture qui consiste à transformer une Etudiante en prostiprout, car pour elle c’est mieux rémunérer de faire boutique moncul en ligne que d’aller faire la caissière et de la mise en rayon chez lidl au smic … L’argent facile un choix bien ambivalent …
Source de toutes ces infos ?
J’ajouterais explosion des réseaux parallèles d’escorts. Ni vous ni moi n’avons connu l’époque lointaine des maisons closes, mais les anciens, hommes et femmes, en attestaient: celles-ci garantissaient la paix des ménages et atténuaient les nuisances du célibat, intermittent comme prolongé. En outre, ces dames bénéficiaient d’un suivi prophylaxique en secteur hospitalier, aux fins d’éviter le développement de MST à une époque où le préservatif n’était pas la règle. L’ère bienheureuse de la liberté sexuelle, que je pense vous avez connue comme moi, a laissé place à une forme de puritanisme hypocrite propre à laisser s’exprimer le refoulé, et on voit ce que ça donne sur le net comme dans la criminalité sexuelle sur le terrain.
La liberté a toujours bon dos, tout comme les quelques rares exemples « vertueux » de la prostitution.
Mais on oublie que de ce pseudo âge d’or de la liberté sexuelle, ce n’était pas que Madame Claude. C’étaient les mafias, c’étaient les macs violents, dans tous les sens du terme, c’étaient des filles obligées d’acheter leur droit d’arrêter avec les économies qu’elles espéraient utiliser pour changer de vie, c’était la drogue, les MST et parfois, la mort.
Aujourd’hui, grâce à internet, c’est de plus en plus de mineure à partir de 13 ans (pour l’instant) qui se prostituent, encouragées par des jeunes hommes qui leur promettent protection et argent et qui ne leur laissent en fait que de quoi continuer. Bref, c’est un milieu toujours plus sordide, toujours plus illégal et qui encourage les perversions de l’être humain pour en tirer profit. On est très loin du glamour et, presque, du service d’utilité publique dont tu sembles habiller le milieu de la prostitution.
On a eu raison de lutter contre par le passé et on a toujours raison aujourd’hui. Bravo aux Suédois qui, comme souvent, sont précurseurs en matière d’évolution de la société.
Tellement précurseur qu’ils en sont à deux attentats ou tentative d’attentat PAR JOUR. Après, tout dépend où on place le curseur de l’évolution
Notez bien que toutes les allégations dans ce sujet sont accompagnées des sources sérieuses démontrant ce qui est exposé, évidemment.
J’dis ça …
Quatre par heure même ! Plus c’est gros, plus ça passe
Je suis d’origine suédoise…
Ah.
Et donc forcément, les infos sont vraies.
Bel argument d’autorité.
Alors, évidemment, ça ne veut pas dire que les infos sont fausses, mais rien ne prouve tes dires (notons également, mais là c’est plus général, le glissement du sujet …).
« Teresa Carvalho, députée sociale-démocrate dans le pays scandinave » => tout est dit sur l’état de perdition des pays scandinaves…
La liberté sexuelle à laquelle je fais allusion n’avait rien à voir avec les réseaux mafieux de prostitution, les filles encartées, etc. Cela existait déjà dans les années 30. Il y avait aussi, dans les lupanars de la France profonde, des filles qui préféraient le plus vieux métier du monde à l’usine, l’atelier ou la servitude des bonniches, seules perspectives de l’époque pour une fille qui avait besoin de gagner sa vie. Il faut replacer les choses dans leur contexte.
La liberté sexuelle, ça consistait à se rencontrer pour passer ce qu’on appelait « un moment agréable », à deux ou plus. C’était au sens strict ce qu’on qualifie aujourd’hui de libertinage, qui est devenu un business. C’était aussi l’ouverture vers un érotisme aujourd’hui supplanté par une pornographie envahissante, même si tout ce qui était proposé n’était pas du meilleur goût. C’était un état d’esprit qui survit chez les esprits encore ouverts à ça, disons libertaires/libertins, au travers d’applis commerciales et de lieux de convivialité où s’orchestrent ce qu’on appelle vulgairement les « coups d’un soir ». Pratiques autrement plus saines que le voyeurisme payant de type OnlyFans, les réseaux d’escorts qui opèrent en clandestinité, les sites pseudo-libertins de type Coco.gg et consorts, l’overdose de pornographie et d’érotisme trashy diffusé sur les réseaux sociaux et au travers des téléréalités programmées en prime sur certaines chaînes TNT.
Le Q étant un business qui rapporte et qui rapportera toujours, ce qui est interdit ici resurgira ailleurs sur le net sous une autre forme et rapportera d’autant plus de fric que les puritanismes hypocrites et autres féminismes radicalisés fabriqueront des refoulements et toujours plus de misère sexuelle.
La question de la pédocriminalité, phénomène abominable en progression, implique aussi les parents, les éducateurs, mais ce n’est pas ici le débat.