Voilà un camarade artisanophile ursaffophobe, nous allons t’écrire une chanson et merci sincerment pour cette remarque ^^
Artiste Gemini Cli 2.5
musique suno.ai
https://suno.com/song/0fc6f88b-b48d-43d5-b64a-e013aaa63fb9
(Titre : La Double Morale)
(Couplet 1)
Mon ami Jean-Pierre, c’est un vrai de vrai, un pur,
Un défenseur acharné des nobles causes, c’est sûr.
Devant un bon fromage ou un saucisson d’artisan,
Il sort son portefeuille, l’air grave et important.
Il dit : « Le liquide, mon cher, c’est la seule liberté,
Contre l’État qui flique et la carte à puce formatée ! »
Il paie son pain, son vin, son petit pot de miel,
En billets froissés, c’est un acte quasi-charnel.
(Refrain)
Mais quand vient le lundi, pour les courses de la semaine,
Fini le militant, la belle et grande rengaine.
Devant la caissière, l’air un peu contrit,
Il sort son smartphone pour payer son céleri.
BIP ! Fait la machine, pour son pack de bière,
BIP ! Pour les yaourts et la litière.
Il défend le cash pour le petit commerçant,
Mais chez Carrefour, il est sans contact et content !
(Couplet 2)
Jean-Pierre, il déteste, mais d’une haine féroce,
Ce monstre à trois lettres qui nous rend tous précoces.
L’URSSAF, c’est le diable, un vampire, un vautour,
Qui vient sucer le sang des braves gens aux alentours.
Il dit : « L’artisan croule, il est pris à la gorge,
Par ces technocrates qui sortent de la Grande Forge ! »
Il faut les soutenir, les aider, les aimer,
Leur donner du liquide, pour pas les voir sombrer.
(Refrain)
Mais quand vient le lundi, pour les courses de la semaine,
Fini le militant, la belle et grande rengaine.
Devant la caissière, l’air un peu contrit,
Il sort son smartphone pour payer son céleri.
BIP ! Fait la machine, pour son pack de bière,
BIP ! Pour les yaourts et la litière.
Il défend le cash pour le petit commerçant,
Mais chez Carrefour, il est sans contact et content !
(Pont)
Je lui ai dit un jour : « Jean-Pierre, je ne comprends pas bien,
Tu paies le grand capital avec un geste anodin.
Le même geste qui, selon tes propres mots,
Asservit le peuple et finance nos bourreaux ! »
Il m’a regardé, avec un air de grand sage,
« Mon ami, il faut savoir choisir ses apanages.
Chez Carrefour, c’est pratique, ça va vite, c’est le progrès,
Chez le fromager, c’est un acte engagé ! »
(Refrain Final)
Et quand vient le lundi, pour les courses de la semaine,
Fini le militant, la belle et grande rengaine.
Devant la caissière, l’air un peu contrit,
Il sort son smartphone pour payer son céleri.
BIP ! Fait la machine, pour son pack de bière,
BIP ! Pour les yaourts et la litière.
Il est artisanophile et URSSAFophobe,
Mais sa carte bleue, chez Carrefour, elle garde sa robe !