La dernière campagne publicitaire de la marque Guess au sein du magazine Vogue suscite de nombreuses réactions. Et pour cause, celle-ci met en scène une mannequin générée entièrement par l’intelligence artificielle.
Rien de choquant, les pub ce sont déjà des images ultra retouché, ultra maquillage,… Alors plus rien de réel non plus.
Par contre ça coûte pas très cher à faire des petits tutos sur YouTube un accès à flux kontext ou autres, guess met 1personne de leurs service com en 1semaine elle fait ça.
La marque à un control total de l image, pas de prise de tête avec des mannequins célèbres ou autres et des demandes bizarre avec les agents. Beaucoup plus flexible à adapter à chaque continents. Éviter des scandales avec une égérie qui fait un bad buzz
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Elle est photoshopée, ça se voit. Tout le monde sait que les IA ne produisent pas des mains à 5 doigts ! 
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elle se fond pas mal sur le bleu, je pense un photographe trouverait la photo très moyenne, mais c’est un beau coup de pub
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Je plussoie! Aucun relief, aucun plis dans la robe. Tout est tellement plat que ça choque! Elle est sensée avoir le bras et la jambe pliés mais on a l’impression qu’elle est collée sur le fond.
Image un peu ratée…
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Ca c’est le passé, il y a de moins en moins d’erreurs sur les mains, sauf qu’ici et pour moi, vu sa morphologie, on dirait un peu des mains de bûcheron, te prends pas une baffe ^^
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Le flou de la teinture blonde ne semble pas naturel.
La forme de la main et des doigts/orteils ne sont pas de proportions normales.
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Fichtre, « le flou de la teinture blonde » , on peut dire que l’IA ne vous la fait pas! 
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Oui, l’index de la main gauche est plus gros que son majeur. Et le petit orteil gauche démarre comme celui d’un cheval, à mi distance de la plante du pied. Aussi, elle a 3 genoux, mais ça je pense que beaucoup ne sont pas arrivés si bas. Mais ce qui me choque le plus, c’est les ampoules n’importe nawak dans le couloir et les chapeaux qui tiennent en l’air suivant un angle qui défie la gravité.
La première image est mieux réussie, mais elle ressemble à Barbie dans le film, donc très probablement inspiré de ces images pour leur entraînement.
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A peine pompé sur Denise Richards Denise Richards - IMDb.
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C’est moi ou ils ont pompé le visage sur celui de Denise Richards !?!
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D’un point de vue photographique c’est assez moche. Fade, pas de contraste… terne. Sur une belle photo, même de mode, les petits défauts font le côté réel… la c’est en effet du même niveau que les photos ultraphotoshopés… c’est moche et ça ne met ni la femme ni la tenue en valeur. On ne se projete pas. Mais bon c’est comme partout… le marketing et le besoin d’économie drive tout. Avant il y’avait des passionnés de mode, maintenant on a des passionnés de fringues. Avant on avait des passionnés de photographie, maintenant on a des passionnés d’appareils photos. Avant on avant des passionnés d’automobiles, de conduite, maintenant on a des passionnés de voitures. On regarde que les statistiques techniques, et pas la destination…
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Je me suis fait la même remarque. Un petit peu de Brooke Shield aussi.
Après, on peut regretter que la carrière d’Aki Ross n’ait pas décollé après l’échec de Final Fantasy.
Les mannequins surpayés ont donc du souci à se faire, ça fait des années que les grands couturiers se plaignent de ce qu’ils doivent les payer. ^^
On ne peut pas sortir avec à son bras une photo d’IA (et plus si affinité).
Si ces gens trouvent que Vogue craint, elles n’ont qu’à le boy cotter (ceci n’est pas un appel au boycott).
Perso, je n’ai pas d’argent mais si j’en avais , je ne voudrais que des choses créées par des humains avec des humains.
Genre, acheter une voiture de luxe fabriquée majoritairement par des robots, quel intérêt ?
Bien sur on peut montrer qu’on est le plus riche mais c’est vraiment creux.
Avoir une top modèle qui n’existe pas ??? Et bien plus d’achat chez cette marque de vétements etc
Mais bon, il ne faut trop en demander aux riches.
A une époque même les acheteurs riches pouvaient être un peu attachés à ce qu’ils achetaient par ce que c’était le fruit d’êtres humains et que cela donnait une valeur vivante à ces produits.
Maintenant, on dirait que c’est juste sortir la CB et claquer du pognon dont on a que faire pour acheter des trucs fabriqués par des machines.