La question des GPU est devenue centrale pour les géants de l’intelligence artificielle. Ce qui se ressent même jusqu’au fonctionnement quotidien d’entreprises comme OpenAI.
C’est tellement difficile parce que vous voyez toutes ces choses incroyables, puis quelqu’un arrive et vous présente une autre chose incroyable, et vous vous dites : oui, c’est incroyable
Si je n’en voyais pas l’auteur, j’aurais juré que cette phrase avait été prononcée par Trump, elle est tellement dans son style. Les patrons américains auraient-ils donc tous un vocabulaire limité ? 
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Mimétisme.
Et pas que dans le discours, dans la bêtise aussi. Parce que le simple fait qu’il faille une puissance de calcul aussi démesurée devrait être, pour toute personne avec trois neurones en état de marche, un signal d’alarme que le projet ne sera ni viable, ni rentable à l’état actuel de nos capacités technologiques. Et qu’au lieu de développer des choses qui pompent toujours plus de ressources, ils devraient commencer à en développer qui soient plus économes, et ainsi, il y aura assez de GPU pour tout le monde.
Mais non, bigger is better, l’énergie dépensée fait la valeur d’un produit et toutes les conneries du même genre.
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Je pense qu’on est plutôt coté apprentissage et pas utilisation.
Faut genre avoir 1To de Vram cumulées pour la phase apprentissage et moins de 100go en utilisation (c’est des ordres d’idée, j’avais vu à un moment dans un site sur ce thème un ratio 900go/24go pour une ia utilisable en local (pas avec mes 10go de vram donc ) mais c’était il y a pas mal de mois (donc cela a déjà pu changer))
Quand la phase apprentissage est finalisée c’est plus jouable pour l’utiliser (d’ou les config pc portable axé IA locale avec cpu (npu) avec + de 100go de ram systeme )
Peut-être, pas convaincu, mais admettons qu’il faille effectivement moins de matos pour faire tourner l’IA une fois que l’apprentissage sera fait.
Ce matériel utilisé pour l’apprentissage aura, quoi qu’il en soit, été produit, acheté et payé. L’énergie et les matières premières utilisées pour la production seront perdus et bien perdus.
Par certains cotés, ça me fait penser à une économie de guerre : en apparence ça soutient la croissance et l’industrie du pays qui l’utilise, mais il s’agit d’une industrie stérile et qui disparait dès que la guerre se termine, provoquant la ruine du pays si celui-ci n’avais que ça pour soutenir son économie.