Commentaires : Données de santé : le DPO du CHU de Bordeaux partage son retour d'expérience

Le délégué à la protection des données de l’établissement hospitalier rappelle à quel point le sujet des données de santé est sensible et l’est encore plus depuis l’apparition de la Covid-19.

Les outils informatiques dans les centres hospitalier sont rarement évolué et à jour. Car le système d’information doit avoir une disponibilité absolu et malheureusement la sécurité n’est pas terrible ce qui est débile dans un sens.

Je pense qu’après le COVID nous ressortirons plus fort sur beaucoup de points, un peu comme après une guerre…quand on la gagne évidemment ^^

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on ne peut pas faire pire que les anglais (qui limitent perdent eux meme les donnees), je recois encore des faux spam du NHS.
je travaille dans un autre pays mais pour un groupe d’hopitaux publiques, ce n’est pas tellement les outils a mettre en cause (car le parc est assez bien renouvelle) c’est au niveau des licences de logiciels ou ca coince, ca fait parfois goulot d’etranglement et du coup tu peux etre dans le lucky few qui n’ont pas acces (sympa quand tu bosses).
Tout sur l’outil informatique est enregistre, qui regarde quoi a telle heure ou fait telle action, revenir au papier est impensable.
les tableaux de bord, si c’est le patient flow, est rarement accessible du grand public et dans des lieux limites, si c’est le handover, hmm cela depend beaucoup de la culture de l’endroit ou on bosse, si c’est celle du serieux ou du rinafout. si vous trouvez un handover, rapportez le a l’endroit qu’il concernait et normalement on vous prendra tres au serieux
Dans ces temps de covid ou les visiteurs etaient interdits, j’etais etonne de voir que meme le personnel soignant balance leur masque, gants et autres sur le chemin des parkings… :confused:

Rien, absolument rien ne justifie que l’on place les dossiers médicaux des gens dans des ordinateurs « gouvernementaux » ou à vrai dire des « multinationales ».

Mais les politiques trouveront toujours des « raisons » (mensonges) pour justifier le fichage des gens.
Et qui sait on décidera dans l’avenir, proche ou non, qui aura des soins de santé et non.

Parions que les moins démunis n’ont aucune chance.

Il est impossible de parler de « vie privée », de « sécurité » quand on met des données dans des ordinateurs. Il y aura toujours des gens capables de les consultés, de les acheter, etc.

Mais bon, on croit encore aux comptes de fées, on croit aux menteurs.

Le meilleur des mondes !

C’est curieux, ça…t’indigner ici alors qu’ailleurs tu préconises de « limiter la population à 1 milliard d’individus ».