Google, jamais à court d’idées grandioses, dégaine son projet « Suncatcher » : des centres de données pour l’intelligence artificielle en orbite. Une fuite en avant spatiale pour répondre à la consommation électrique gargantuesque de ses propres technologies ici-bas.
Toutes les bonnes questions sont dans l’article … et effectivement, de par les connaissances grand public actuelles, ça fleure bon l’utopie (surtout sur la partie télécom’ laser)
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Installer leurs serveurs là où l’énergie solaire coule à flots et où le refroidissement ne coûte rien.
Le refroidissement d’un satellite est assez complexe et lent : pas de convection; il faut soit éjecter quelque chose de matériel (conduction), ou se reposer sur l’émission de radiation thermique (infrarouge), ce qui est lent.
C’est les radiations infrarouges qui seraient utilisées ici, avec probablement des radiateurs assez conséquents.
Bon il faut changer un proc… 50 M$ pas cher. Et comme si il y n’y avait pas assez de pollution.
Selon les premiers retours de starcloud avec leur satellite envoyé le 2 novembre dernier, les résultats sont concluants pour le refroidissement. Même en plein pic (C’est un H100).
La transmission par laser est en court de test actuellement avec le réseau starlink.
Le satellite aurait une puissance jusqu’à 2000 téraflops (100x plus puissants que les GPU de l’ISS).