Commentaires : Des hackers ont réussi à cloner les cartes d’accès pour 3 millions de chambres d’hôtel

Et si la porte de votre chambre d’hôtel était moins sécurisée que vous ne le pensiez ? Une équipe de hackers vient de détailler une méthode permettant de créer des passe-partout numériques utilisables dans de nombreux établissements.

Souvent c’est du NFC suffit de lire le code avec son téléphone et ensuite même pas besoin de créer des cartes physiques le téléphone permet de reproduire le code. C’est une vulgaire chaine de caractère un peu comme un code barre ou un qr code il n’y a pas de protocole d’échange spécifique.
Même pas besoin de logiciel de piratage, ceux du Play Store suffisent.

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Ce qui m’a surtout effrayé, c’est le nombre de fautes de français dans l’article.

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Et selon la célèbre incantation…Sésa…heu…Dormakaba !..Ouvres toi !

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Si c’était si simple… Oui on peut lire une clé via n’importe quel soft sur son tel, sauf qu’un tag NFC ne se résume pas juste à cette clé, il y a des protocoles de com sécurisés, des échanges cryptés, et surtout des vérification comme quoi l’échange est autorisé etc… Ce n’est donc pas parceque tu lis la clé de la carte bancaire de ta voisine que tu peux la dupliquer et aller faire des folies avec (la carte, pas la voisine).

Pour la carte bancaire peut être, mais j’ai déjà mémorisé un badge de porte avec succès, il n’y avait aucune autre sécurité. Le logiciel de contrôle est souvent très simple, si le code stocké est dans la liste des codes autorisés ouverture de la porte. Dans les entreprises par exemple c’est souvent ça, un nouvel employé arrive on rajoute un code à la liste et c’est tout, il perd sa carte on supprime le code.

On se parle de système de portes d’hôtel, le degré de sécurité n’est certainement pas celui d’un paiement. Il doit y avoir effectivement un code programmé dans la serrure et sur la carte, mais pas forcément beaucoup plus.

En plus ici, il s’agit de créer un passe-partout (comme celui des membres du personnel) à partir d’une seule carte, pas de cloner UNE carte ou de cloner un pass. Preuve de plus que le niveau de sécurité doit pas être fou.

En tout cas ça me rappelle un voyage scolaire en Italie, où les chaînes TV payantes de l’hôtel étaient verrouillées dans la télécommande… mais pas sur la TV, donc accessibles en faisant simplement +/- sur la TV elle-même. Autant dire que l’info de la disponibilité de certaines chaînes non destinées aux collégiens s’était vite diffusée dans les couloirs. :see_no_evil:

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C’est cool, on pourra savoir qui va à l’hotel, ah non c’est juste pour ouvrir des portes.

T’as pas vu le plus drôle alors. Il y a un lien clubic « Flipper Zéro » dans l’article. C’est de toute beauté !

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Cadeau, uniquement pour la dernière phrase :

« Actuellement, seuls 36 % des serrures ont été mis à niveau et le déploiement d’un correctif pourrait encore prendre des mois, voir des années. »

Correction basique (idéalement, il faudrait reformuler) :

« Actuellement, seules 36 % des serrures ont été mises à niveau et le déploiement d’un correctif pourrait encore prendre des mois, voire des années. »

On ne regarde pas des années (« voir », verbe), ça pourrait MÊME (« voire », conjonction) prendre des années. C’est une faute malheureusement très courante.

Il n’y a pas mort d’homme mais la qualité d’écrire des médias est nettement en baisse, tout particulièrement sur le Web. Le niveau d’écriture global est bas, même des ingénieurs ne savent pas écrire correctement et font beaucoup de fautes. Bien sûr, on peut laisser passer des coquilles, mais lorsqu’un article comporte plusieurs types de fautes (tournure discutable, mauvais accord, mot mal employé, oubli de ponctuation, mot manquant), ce n’est plus une simple coquille. J’écrivais pour un journal il y a quelques années, de telles erreurs étaient impensables : non seulement nous étions très soucieux de notre prose par respect pour nos lecteurs, mais les articles de chacun étaient assidument relus par d’autres rédacteurs puis par le rédacteur en chef avant publication.

Le phénomène le plus étrange à mon sens et très répandu, c’est l’oubli de mots. Il est très courant de lire des articles avec des phrases auxquelles il manque un mot, que notre cerveau s’efforce inconsciemment de réintroduire au moment de la lecture pour assurer la compréhension.

si on veut vraiment hacker une chambre d’hôtel il suffit de courtiser (ou voler) la femme de ménage : elle a une clé passe partout !