Commentaires : Des femmes dirigeantes militent pour « imposer la mixité dans l'économie numérique »

Un collectif de femmes dirigeantes a publié un texte dénonçant les inégalités ayant cours dans le monde des start-up et des entreprises du numérique. Elles entendent ainsi interpeller les pouvoirs publics, afin de mettre en place des mesures favorisant la mixité.

Oui pour une mixité sociale, mais passer en équité absolue est une erreur de jugement: Il faudrait partir du principe que 50% de la population active est composée de femmes, et 50 autres d’hommes… ce qui n’est pas le cas.

Je ne sais pas si le fait d’une volonté de résumer les choses dans un article, mais ce 2,6% de femmes qui obtiennent un financement devrait être rapproché du pourcentage de femmes qui demandent effectivement un financement de fonds d’investissement.

Si il y a 50% de demandeuses, ou même seulement 30%, ces 2,6% sont effectivement anormales.
Maintenant, si ces 2,6% sont peu ou prou l’équivalent du pourcentage de demandeuses, il n’y a rien d’anormal. Et s’il y a un souci, il se situe ailleurs “pourquoi si peu de demandeuses ?”.

Il faut faire attention avec les %, sinon on arrive à des constats que 100% des gagnants ont tenté leur chance.

Je souhaite donc que l’auteur obtienne et publie le pourcentage de femmes dirigeantes qui demandent des capitaux de fonds d’investissement. C’est un prélable absolument nécessaire à la compréhension du sujet.

Exactement comme Uatu, je pense que l’on compare des pommes avec des poires; combien de femmes demandent des credits pour Startup? Imposer un ratio n’a aucun sens. Par ailleurs, le liberalisme est justement le meilleur moyen d’avoir une balance equlibree (et non forcement paritaire), un investisseur cherchant le profis en premier lieu. Brider ce liberalisme par toujours plus de lois est donc contre-productif.

Ca me rappelle un interview d’une féministe sur lequel je suis tombé il y a quelques temps qui expliquait que, bien que la proportion de femmes était majoritaire dans l’enseignement supérieur, il existait encore des filières dans lesquels il y avait une dominance masculine, et que donc pour ces filière, il fallait mettre en place des quotas pour permettre à plus de femmes d’y accéder.
Par contre bizarrement, à aucun moment elle n’a évoqué l’éventualité d’imposer des quotas aux filières à dominante féminine pour pouvoir laisser leur chance à plus d’hommes… Le féminisme quoi.

on nage dans le suréel, ca se la joue égalité mais ça veut pas toucher à de la mécanique par exemple. alors oui du tertiaire ça y va, il reste du taf