Commentaires : Découvrez le satellite MTG-I1, ce fleuron européen qui va nous donner la météo

Il doit décoller du Centre spatial guyanais le 13 décembre : MTG-I1 est le premier d’une nouvelle génération de satellites météorologiques européens. En orbite géostationnaire, il observera le globe et enverra plus de données que ses prédécesseurs… tout en étant plus précis et en détectant les impacts de foudre.

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Citation de l’article : « Cette nouvelle addition est très attendue, en particulier dans le contexte actuel. En effet, 2022 est une année record dans l’Hexagone pour les orages, et de nombreux modèles prédisent une hausse des événements climatiques extrêmes dans les années à venir. »

C’est très bien pour la France, va-t-il servir juste la France, ou aussi l’Europe ?

Citation : « Le décollage est prévu le 13 décembre à 21 h 30 (heure de Paris) »

Ouf, ça tombe mardi prochain, heureusement, pas un vendredi 13. ^^

Citation : « De plus, MTG-I1 est capable de capter la foudre, contrairement à ses prédécesseurs ».
Alors, ils viennent d’où les impacts de foudre que l’on voit sur les cartes météo de la télé ?

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Les Mardi 13 sont considérés comme des jours de malheur en Espagne et dans les pays hispaniques.

Sinon, évidemment que le satellite servira pour toute l’Europe.

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… et les « satellites mis à la retraite »…, on les laisse eux-aussi errer tout là haut pour encore plus encombrer les orbites proches et plus lointaines « de délestage »?

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Les satellite en orbite basse METOP et les stations au sol fournissent ces cartes d’impact. L’apport des MTG sera d’avoir une vision beaucoup plus globale et rapide (et c’est un complément de données sur les zones déjà bien surveillées).

Les données des satellites GOES américains (il y a des accords d’échanges de données) montrent aussi les impacts de foudre depuis l’orbite GEO.

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Non, en orbite géostationnaire les opérateurs utilisent ce qu’on appelle des orbites cimetières, situées quelques centaines de kilomètres plus haut que la « ceinture » équatoriale.

Il n’y a pas vraiment le choix en réalité, les ramener se consumer sur Terre demanderait un énorme apport en ergols. Les orbites proches n’en sont pas vraiment encombrées (il y a mécaniquement beaucoup plus de place à 37000 km d’altitude qu’à 500), même si cela fait l’objet de suivis.

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