Commentaires : "De nouveaux troubles mentaux à cause de l'IA" : les experts tirent la sonnette d'alarme

De plus en plus de professionnels de la santé mentale alertent sur un phénomène troublant, décrit comme une sorte de délire, découlant directement des interactions entre les utilisateurs et les intelligences artificielles (IA).

« Des délires alimentés par les IA » : Quand on est frappé du bocal, tout est bon pour se complaire dans son délire, la simple télévision, tous les réseaux sociaux font déjà l’affaire, aussi, l’IA n’est qu’un vecteur supplémentaire rien d’autre.

Je me demande quelle est la part d’ingénieurs, médecins, chercheurs (…) utilisant ces IA à titre privé, ou passent du temps sur des réseaux dits « sociaux » … ?

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Oui, l’échange avec le chatbot n’est que l’événement déclencheur mais outre les cas graves bien ciblés ce sont simplement les dérives des chatbots qui sont en cause en général entre désinformations et endoctrinements possibles chez des personnes qui manquent de jugement critique.

Frappé du bocal… Peut-on émettre l’hypothèse de personnes vulnérables, isolées, voire désespérée qui ont besoin d’aide ? Un film (visionnaire pour le coup) a traité cette thématique, d’une certaine façon.
Quant aux délires, c’est beaucoup plus commun qu’on ne le pense. En général, c’est la confrontation à la réalité (l’épreuve de réalité) qui met fin aux délires non pathologiques. Du coup, l’IA n’est pas un vecteur supplémentaire, elle est au contraire toxique pour la personne en plein délire car au lieu de faciliter la confrontation à la réalité, elle valide le délire, ce qui peut être extrêmement grave.

Voir les MAGAs ou les anti-vax, entre autre.
Ils n’ont pas besoin de l’IA.

Sans blague.
C’est même extrêmement grave : il y a des sites pornos avec IA, et des gamins vont dessus !

Avec ou sans IA, c’est grave.

Oui mais l’IA va accentuer les maux, c’est l’objet de l’article.

Ca ne change rien au fond du problème.

Si, au contraire ça démultiplie les problèmes et accélère les pathologies.

Ne pas confondre causes et conséquences. C’est décrit comme un problème cognitif passager sur des personnes déjà atteintes de problèmes psychiatriques. Pour le moment ce qui est avancé reste au conditionnel et n’a aucun lien direct avec votre idée du porno sur les ado… Je dirais même que l’usage de l’IA pourrait, à bon escient, aider à traiter ces malades. Il ne faut pas uniquement s’inventer un coté négatif.