Loin des caméras depuis son solide Rogue One: A Star Wars Story en 2016, Gareth Edwards est de retour à la réalisation et à la coécriture (avec Chris Weitz) pour The Creator. Le film arrive à point nommé dans un contexte où le monde de la tech n’a que l’intelligence artificielle (et ses dérives) à la bouche. Sujet certes déjà maintes fois traité au cinéma et ailleurs, l’IA méritait pourtant bien un nouveau traitement modernisé. Et c’est… partiellement raté.
Pour un n ieme copier coller de film de super hero ca vaut rien. Certains aime la médiocrité
3.9/5 en critique spectateur, sur Allociné.
Ça fait un peu plus que « certains », surtout lorsqu’on considère que les gens sont plus prompts à gueuler lorsqu’ils ne sont pas contents qu’à féliciter lorsqu’ils le sont. Et puis là, il n’y a pas de fan-base pour faire monter la note juste parce qu’ils sont fans.
AlloCiné ? c’est une blague.
Quand il s’agit de blockbuster idéologique, les notes négatifs sont supprimés par millier (coucou Disney) pour remonter les notes , je ne parle même pas de la censure…
Ne jamais se fier à AlloCiné.
En admettant que ce soit vrai, ce qui est tout à fait possible par les temps qui courent mais qui demanderait à être sourcé un minimum, qu’est ce qui est idéologique dans ce film ?
Une source fiable ? c’est à dire pas un obscur blogueur sur Youtube.
des sources ?
N’importe quoi…
J’ai passé un bon moment et franchement ça ressemble à un medley de films de SF ( avatar / Matrix etc ) mais c’était sympa.
Si vous voulez une purge, il y a Blue Beetle
+1 ^^
Ce n’est pas seulement du déjà-vu, c’est du vu/re-vu/re-re-vu. Je suis plutôt bon public et je retire habituellement ce qu’il y a de positif dans chaque film, mais Blue Beetle est un véritable ramassis des clichés et des poncifs des films de super-héros. On peut prévoir le déroulement du film comme si on a avait écrit soi-même le scénario. 
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