Commentaires : COVID-19 : les États-Unis ne parviennent (toujours) pas à produire des données officielles sur le virus

Au pays de l’Oncle Sam, le coronavirus demeure actif mais ce ne sont pas les chercheurs et chercheuses américains qui permettent d’être le plus précis sur l’état des lieux de la maladie au sein du territoire national.

Y’a pas « contrôle » dans l’acronyme du CDC ? C’est pas tant pour alimenter les statistiques que pour savoir comment agir, où et avec quel degré d’importance/urgence.

J’ai quand même du mal à croire que d’avoir une vue réelle sur la situation du pays ne soit pas nécessaire pour prendre les bonnes décisions.

Le problème n’est pas seulement lié au découpage fédéral. La collecte de ces données est ultra-politisée aux USA : les états conservateurs tentent depuis le début de l’épidémie d’en minimiser la portée. On a même vu en Floride une « lanceuse d’alerte » (une analyste qui faisait un travail similaire à Guillaume Rozier et son CovidTracker) être emprisonnée suite à un différent avec le gouverneur. Covid-19 : la lanceuse d'alerte Rebekah Jones vs le gouverneur DeSantis en Floride

Y’a pas « contrôle » dans l’acronyme du CDC ?

« CDC » n’est pas un acronyme.

En revanche, ils sont les premiers à demander des comptes à un certain pays lorsqu’il ne fournisse pas des informations satisfaisantes…

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Et pourtant ACRONYME : Définition de ACRONYME
C’est une idée reçue

CDC… Rien qu’en voyant ces lettres sa me fait penser à ce jeux : Day gone avec le NERO comme entreprise pharmaceutique, et le monde plein de mutant à cause d’un virus. bref je conseil le jeux surtout pour son histoire.

C’est combien, « les chiffres tragiques des décès des populations non vaccinées, de la France en ce moment ? »

wikipedia : L’année 2015 enregistre un chiffre record de 594 000 décès, avec un taux de mortalité de 924,1 pour 100 000 habitants, un chiffre supérieur de 6,1 % à celui de 2014, avec un taux de mortalité de 875,0 pour 100 000 habitants. Il peut s’expliquer par une cause structurelle comme le vieillissement des « baby-boomers »8 qui atteignent un âge où ils sont plus fragiles, mais aussi des facteurs plus conjoncturels comme une épidémie de grippe particulièrement virulente au premier trimestre, plusieurs épisodes de canicule en juillet et en août, et une vague de froid en octobre9.

En 2017, un nouveau record est atteint avec 603 000 décès, avec un taux de mortalité de 929,7 pour 100 000 habitants, soit une augmentation de plus de 9 000 décès (1,5 %) par rapport à 2016, avec un taux de mortalité de 920,9 pour 100 000 habitants10. L’épidémie de grippe hivernale amorcée fin 2016 a entraîné un pic de décès exceptionnel en janvier 2017 : 67 000 décès en France métropolitaine11.

En 2019, 612 000 personnes sont décédées en France, en hausse de 0,4 %1.


Il y aurait, selon Philippe Douste Blazy, 8 000 décès annuels du fait des interactions médicamenteuses qui ne représentent qu’une partie de la iatrogénèse médicamenteuse6.

Selon Mme Anne-Marie Payet, « les chiffres les plus couramment avancés font état de 140 000 hospitalisations provoquées par des accidents médicamenteux et 13 000 décès avérés. »7.

@Starfoul Messages supprimés, pour hors sujet.

@elminster44 & @sirifa & @LeToi Messages supprimés, car réponses à un message … supprimé.

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Je ne sais pas si nous faisons comme les autres pays (Australie, Allemagne…) des études sur le taux de virus qu’expulse un patient malade, les durées des phases d’incubation, de contagiosité et le suivi génétique du virus pour voir quand il mute…

J’entends toujours selon les israéliens, selon les anglais, selon les chinois, selon les japonais, selon les américains mais jamais selon nos experts, nous pouvons dire.