Face à la pandémie de coronavirus, l’Europe propose de rassembler ses forces, pour une recherche plus efficace.
Vu la lenteur de la mobilisation internationale pour trouver un remède, je dirais qu’on est pas sorti de l’auberge.
C’est du GBS (gros bon sens), mais qui voudra partager ses données avant de les avoir publié ? La recherche n’échappe pas au règne de la compétition: c’est la course à celui qui aura le plus d’article dans The Lancet. Il ne faut pas s’étonner si les premières informations pertinentes ne sont sorties de Chine, qu’au grès des publications et donc au compte goutte et avec plusieurs mois de retard…
Sans oublier l’enjeu financier colossal, car celui qui maîtrisera la production du premier vaccin sera multi-milliardaire…