Commentaires : Covid-19 : en Italie, l'impression 3D au secours des médecins

L’hôpital de Brescia, dans le nord de l’Italie, a reçu un nouveau soutien précieux. La start-up italienne Isinnova lui a proposé ses services d’impression 3D, fabriquant des vannes respiratoires dont l’établissement commençait à manquer.

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Des chiffres encourageants pour la production de ces valves, qui doivent être remplacées toutes les 8 heures.

Alors je vais peut être dire une connerie parce que je n’y connait rien, mais je trouve que le monde médical dépends peut être trop de consommables non réutilisables. Sauf qu’en cas de pandémie, cela demande que la logistique puisse suivre derrière et que les stocks aient été prévus.

Alors j’imagine que dans beaucoup de cas, on ne peut pas faire autrement, mais dans d’autres, peut être que si.

Quand à l’impression 3D, c’est une solution très intéressante en cas d’urgence pour pallier au fait que nous n’avons plus d’industrie.
La réalité montre que les chinois ont été capables de monter des lignes de production de masque en un temps record. Et visiblement, en France nous ne sommes plus en mesure de le faire. Il est possible que la difficulté soit de trouver l’outillage adéquat sur notre sol.

Pour ma part, cela fait des années que je dit qu’on va se prendre le mur un beau matin. C’était complètement idiot de penser qu’on pourrait vivre sans industrie.

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la bonne nouvelle c est que ca devrait changer… le monde va changer, et ca c est réconfortant !

C’est émouvant la rencontre entre la haute technologie et des besoins humains.
Mon fils ainé passionné de technologie aime a fabriquer n’importe quoi, mais pour des objets durables il faut souvent des pièces qui n’existent plus, ce qui serait bien c’est l’obligation d’éditer le plan des pièces détachées pour pouvoir les refaire voire améliorer.
Dommage pas de buses tissu pour faire les masques en 3D.

Combien d’années il faut à un technicien en mécanique capable de retoucher, réparer entretenir des moules d’injection? idem en pire les buses d’extrusion plastique, caoutchouc, autant que devenir médecin, on les appelle souvent techniciens outilleurs.
Quand on ferme une boîte on perd définitivement un savoir accumulé et un tour de main le mec trouvant vite autre chose à faire.