Les éditeurs d’intelligence artificielle (IA), et particulièrement OpenAI, ont les yeux rivés sur Hollywood, où des accords avec les studios leur permettraient de renforcer leur activité. Mais ils doivent faire face à une grande réticence de leur part, qui témoigne des limites auxquelles se frotte encore la technologie.
Si les géants actuels ne veulent pas évoluer, c’est peut-être l’opportunité d’en faire naître des nouveaux…
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Si il n’y a plus d’acteurs, plus de décors, plus de caméras, plus d’enregistrements audio, il ne faudra plus appeler ça du cinéma.
Une IA transforme une photo prise en mode portrait, en mode paysage en générant les plans horizontaux « manquants » ; c’est plus de la photo mais de l’imagerie de synthèse… Faut appeler un chat, un chat…
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Pour une fois, je me mets du côté d’Hollywood.
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Pixar fait bien partie d’Hollywood et pourtant il n’y a « plus d’acteurs, plus de décors, plus de caméras, plus d’enregistrements audio » (sauf doublages)
Les hollywoodiens n’aiment pas la concurrence, ils n’aiment pas partager le gâteau des dollars