Commentaires : Comment créer une boutique en Dropshipping?

Le Dropshipping est un business modèle basé sur la vente sans stock de produits en ligne. En partant de ce principe, les avantages sont nombreux puisque pour monter une boutique en dropshipping, aucun investissement lié à un potentiel stock n’est nécessaire. Depuis 2020, ce type de boutiques e-commerce fait également beaucoup parler de lui suite aux dérives de certains influenceurs. Un modèle qui malgré tout séduit de nombreux entrepreneurs comme rampe de lancement dans le monde de l’e-commerce. Pour faciliter votre introduction dans ce monde, nous avons réalisé ce guide pour que, vous aussi, vous puissiez créer votre propre boutique en dropshipping au mois août 2023 afin d’être prêt pour la rentrée !

Sérieusement ? Un article pour faire la promotion du dropshipping ?
Je sais que cela n’a rien d illégal en soit mais c’est clairement souvent borderline, un attrape nigaud.
En tout cas l’article a le mérite d’être complet et bien détaillé pour les futurs arnaqueurs en herbe

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Drop shipping et éco-responsabilité dans la même phrase. Parfait. Pourquoi pas équitable, on est plus à une aberration près.

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Le dropshipping c’est le commerce, le « business » ramené à l’os de ce pourquoi il faudrait raisonnablement le mépriser. Car il ne s’agit que de mépris, de mépris pour son « client » pour lequel l’on a un seul et unique objectif : lui soutirer le maximum d’argent en l’embobinant (terme poli).
Cette commission, cet écart de prix au prix nominal, celui réellement à payer, ce différentie t’il réellement de la même somme que vous soutirerait un pick pochet dans le métro : objectivement, raisonnablement, non (et le pick pocket ne prétend pas, ne feint pas vous respecter. Il est donc au final plus respectable).
Mais étrangement, dans nos société, parce qu’une des pratiques est déclarée légale, l’autre non, notre jugement est complètement biaisé.

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C’est la beauté du capitalisme et du libéralisme, ça vaut autant que les entreprises qui ne payent pas leurs impôts dans les pays où elles font du chiffre d’affaires alors qu’elles y sont physiquement implantées.
Ca vaut autant que les entreprises qui ne payent pas suffisamment des salariés,…

Ce n’est pas plus honteux que d’ouvrir une boutique au coin de la rue. C’est pareil mais en ligne, avec un peu de délais en plus s’il n’y a de stock. On trouve des boutiques qui vous refourguent des babioles chinoises avec des marges de malades comme des gens qui vendent des productions artisanales ou locales qui font vivre des artisans ou des petits fabricants, leur offrant de nouveaux débouchés. Bon, le premier cas semble plus répandu malheureusement, mais c’est comme dans les boutiques en dur. Allez regarder les étiquettes chez H&M, Decathlon ou à la FNAC. La désindustrialisation du pays n’est pas le fait que des distributeurs.
Après, libre à chacun d’acheter au plus près de la source. Avec un intermédiaire en moins les prix seront souvent plus bas. Et si vous optez pour des boutiques chinoises, le risque de vous retrouver avec des produits non conformes aux photos.

Je tiens à féliciter Maxime pour cet article argumenté, étayé et agréable à lire !

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L’arnaque pour les nuls, guide par Clubic…
Non c’est pas illégal, mais c’est pas moral pour autant (#defiscalisation)

Non c’est pas comme ouvrir sa boutique au coin de la rue, la boutique offre qq chose, un service, une connaissance du produit, la proximité.
Le dropshipping n’offre rien, tout ce qui est proposé est dispo avec le même nombre de clic sur le net ailleurs et c’est tout.
(Ha oui, tu peux badger ton produit avec un super logo merci).

J’attends le tuto « revendre son tel cassé à un vieux » ou « Comment ouvrir un vrai/faux organisme de formation en ligne et bouffer les comptes CPF »

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Je connais des petits commerçants dans ma rue pour qui le SAV c’est « Va te faire foutre ». D’ailleurs, très peu de made in France dans leurs rayons.
Ce n’est pas parce que des influenceurs ont vendu des cochonneries 20 fois leur prix à des pigeons qu’il faut condamner un moyen de commercer.
Qui se pose la question en achetant un tee-shirt Zadig & Voltaire à 120€ en boutique alors qu’il a coûté 3€ à la marque qui se fournit essentiellement dans des pays miséreux ? Ça fait cher les frais de boutique et de marketing…
Des escrocs, il y en a partout. En effet, s’il est plus facile de mettre en place un business sur le web (du moins au démarrage), il est aussi plus aisé de monter des arnaques. Ne pas tout amalgamer en noir ou blanc, même si c’est à la mode.

Les français ont un problème avec tout ce qui touche au commerce. Dans d’autres cultures ils se posent moins de questions… et nous bouffent tout cru. Après, l’éthique, c’est autre chose. Une boutique en ligne peut en avoir plus que le mec qui vend ses olives terroir au marché, après les avoir sorties des bocaux Lidl en loucedé.

En complément Le dropshipping | economie.gouv.fr

Le fameux « le français qui a un problème ».
Ce business est de la pure merde.
Regarde un peu ce qu’il se passe à l’étranger en effet et tu verras que ce sujet n’est pas qu’une « préoccupation » française.

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C’est pas le sujet. Personne ne dit « voler c’est bien ». Je suis le premier à dénoncer les arnaques. Vous ne pouvez pas faire du noir ou blanc en décrétant sur quelques cas que tout ce système de vente est forcément de l’arnaque. C’est faire insulte à ceux qui respectent leurs clients. Si on devait fermer tous les types de commerces où les marchands ont été malhonnêtes, il n’y aurait plus rien à vendre.
Ce n’est pas parce que ce modèle économique ne vous convient pas (à moi non plus d’ailleurs) qu’il faut le descendre de cette façon.

Ça peut être très intéressant pour un artisan, et encore il aurait besoin d’un stock minimum.

Pour le reste tout à été dit, c’est la porte ouverte à toutes les dérives.

Si, ils apportent quelque chose, un produit au client et une commande au fournisseur qui ne l’aurait peut-être pas eu sans cet intermédiaire. Ça s’appelle le commerce. Le reste est périphérique. Revoyez votre analyse.

Et dans la vraie vie ? À quoi ça va servir si l’artisan n’est pas à l’aise avec le commerce en ligne, n’a personne qui vient sur son site et qu’il n’a pas le temps de s’en occuper ?
Vendre c’est voler. Les marchands ne servent à rien mais on ne sait pas s’en passer. Le principal, c’est que chacun y trouve son compte.

Ce sont certains cas qu’ils faut dénoncer. Sans accuser les autres, sinon ça s’appelle un proçès d’intention. Allo ?! lisez ce qu’on vous écrit.

L’artisan fera comme bon lui semble, pas comme vous l’avez décidé. Déjà ça met votre argumentaire à plat.
Pourquoi voulez-vous qu’il refuse des commandes via une boutique en Dropshipping ? Au contraire, quel bonheur pour lui de voir des commandes imprévues. Ça s’appelle l’augmentation du traffic. Ha mais quelle arnaque !!

Non, je vous mets juste face à vos contradictions. Pas classe d’accuser le site e faire la promotion du vol, ou d’accuser les autres de ses lacunes.

Heu… l’article devrait peut être juste rappeler le cadre légal, non ? Comme ça, ça fait sell and run je trouve…
Le vendeur doit entre autre être inscrit au registre du commerce, garantir que les produits sont licites, conformes et non dangereux au regard de la réglementation en vigueur, et assume, comme un vrai vendeur, les défaillances de son fournisseur. Il faut aussi gérer la TVA, respecter la loi sur les pratiques commerciales trompeuses…
Bref, ce n’est pas juste installer un soft recommandé dans l’article et générer une page web.

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Si ça ne l’est pas, alors le principe même du « commerce » n’est il pas juste honteux ?
Je suis pas loin de penser que oui (tout de même une activité où on l’on fait une marge fixée totalement arbitrairement (en fait souvent fixée au plus haut de ce qu’on pense que l’acheteur non éclairé sur le prix réel est prêt à payer). On abuse donc bien l’acheteur en omettant de lui fournir une information capitale pour conduire sa décision : le prix réel. Notons qu’on l’abuse aussi, bonus, très souvent sur la qualité du produit).
Mais dans le commerce traditionnel, le commerçant prend au moins quelques risques et à quelques frais (avoir un stock et donc potentiellement des invendus) pour offrir un service (une disponibilité à délai nul ou réduit). Notons que « prendre un risque » ne justifie non plus pas tout.
Il offre aussi parfois un peu de service après vente.
Dans le dropshipping il ne reste plus rien. C’est de la marge brute pour rien, uniquement pour quelques minutes de baratins (on ne retient du commerce que le partie la plus « noble » : ) ).

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