Commentaires : Chez X (Twitter), tout est permis pour mettre des bâtons dans les roues de la concurrence… et de certains médias

Des ralentissements lors de l’accès à certains sites web depuis la plateforme de réseau social ont suscité quelques froncements de sourcils. D’autant que les acteurs impliqués ont mauvaise presse auprès d’Elon Musk, qui ne se contente visiblement plus de donner son avis sur tout et n’importe quoi.

Sûrement un test pour mesurer l’impact de la mesure sur le trafic vers ces sites… En tout cas, Facebook utilise un peu les mêmes ressorts sur le rendu des liens partagés pour les rendre moins « sexy » (image de preview mal choisie, voire pas d’image, mauvais affichage du titre…), mais c’est un peu plus subtil.

Il faudrait quand même poser un cadre légal sur la pratique (pour Twitter), car pour la France je pense que le respect de la neutralité du net n’est pas appliqué ici (dans le sens où un utilisateur ne peut pas désactiver le shortener de Twitter).

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il faut boycotter ce genre de produits/personnes aux pratiques détestables…

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Vous avez raison sur le fond mais le principe de « neutralité du net » n’a rien à voir avec ce que fait X, il ne concerne que l’acheminement des paquet qui ne doit faire l’objet d’aucun tri ou traitement particulier ce qui n’est pas le cas ici.
On se trouve devant une entreprise qui estime avoir le droit de trier ce que vont aller voir (à partir de son site) ses client mais sans leur dire et surtout en recourant à des procédés qui ne leur permettent pas de faire un choix, c’est lamentable.

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C’est bien la nature de mon propos, à partir du moment où le service de raccourcisseur d’URL sert à orienter du trafic web, il devrait justement y être soumis, même si ce n’est pas un FAI. Les réseaux sont devenus bien trop complexes pour qu’on se limite à application les télécommunications aux FAI, il y a désormais aussi les CDN & co qui ont leur rôle à jouer.

Surtout que le système de raccourci « t.co » n’est pas facultatif, il est automatique et impossible à virer. Que ce soit côté média (censure, abus de position dominante…) ou côté technique (neutralité du net), y’a clairement un truc malsain dans cette méthode, ça se fait à l’insu de celui qui publie en plus (le système n’informe jamais vraiment que l’URL est intermédiée).
A la limite, libre à eux de proposer une coche pour le désactiver (au détriment de la longueur possible de sa publication, du coup) et ensuite de faire ce qu’ils veulent avec le lien raccourci.

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Son tweet corrigé :
image

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Les mêmes procédés que son alter ego, vendeur de trademark pour hôtels et golfs, et accessoirement précédent troll à la maison blanche, ce melon suk…
Outrance et dénégation… Tu m’étonnes que fuxnews n’était pas impacté !

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Je pose une question : avant que Elon Musk ne s’approprie Twitter, l’ancienne équipe faisait pareil non ? Dès lors qu’on postait un lien vers un site qui plaisait pas à la ligne éditoriale, c’était pas censuré ? Il me semble bien que si.
Donc, qu’est-ce qui a changé finalement ? A si je sais, Twitter censurait tout ce qui était complotiste, X, c’est l’inverse.

Non.
Seuls de rares sites de désinformation ou trop violents étaient censurés. Maintenant c’est l’inverse, ils sont encouragés, plus que l’information vérifiée/vérifiable.

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Penser que les autres sont des enfants de cœur, c’est d’une stupidité affligeante !!

Ça ou les algorithmes qui proposent certains type de contenus plutôt de d’autres, la manipulation est partout sur les réseaux sociaux.

D’ailleurs, Musk y est favorable puisqu’il autorise, dit il, tous les avis sur son réseau. Il autorise donc forcement les infoxs reconnues dont le but n’est rien d’autre que de manipuler l’opinion et de mentir aux gens.

Donc rien de bien surprenant ici et rien qui indique que ça ne va pas continuer de plus belle, tant que les gens préfèrerons laisser à d’autre le soin de décider ce qu’ils doivent penser.

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