Commentaires : Chez Dolby, 60 ans à nous émerveiller en réinventant la façon dont on ressent le son et la lumière

Imaginez… Dans l’auditorium Louis Lumière du Festival de Cannes, les lumières s’éteignent. Une note s’élève, presque timide, puis une autre. Elles glissent dans l’air, se déplacent au-dessus des têtes, puis viennent se dissoudre derrière vous. À cet instant, on sait déjà qu’on ne va pas simplement regarder un film, mais le vivre ! C’est peut-être ça, la véritable promesse de Dolby qui fête ses soixante ans cette année : donner au son une texture, à la lumière une présence, pour donner pleinement vie aux émotions !

Oui, on s’entoure des technologies les plus pointues en audio et vidéo mais on n’en tire aucun bénéfice car malgré cette débauche de procédés achetés (parfois au prix fort), les gens continuent à écouter du son sur-compressé (style mp3 à 96 ou 128kb), du Dolby multicanal en stéréo sur de minuscules HP (soit disant de 300W mais de seulement 82dB/m) ou de regarder des films sur-compressés (type DivX) à faible débits ou de la VOD où tout ce qui compte c’est de privilégier l’occupation de la bande passante au détriment de la qualité.
Du coup, toutes les subtilités du son et de l’image sont gommées.

Alors, croire qu’on obtient les même effets et émotions que regarder un BlueRay sur l’équipement adéquat (Source, TV, Ampli, Enceintes) où tous les éléments sont importants, sur des équipements qui brisent cette chaîne de restitution, est illusoire.

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Oui, on s’efforçait de gagner de l’espace disque par exemple parce qu’à l’époque, le Giga était assez cher et les supports peu évolués par rapport à aujourd’hui. Et puis ce que les gens aiment comme musique par exemple, pas besoin d’installations sophistiquées.

Pour Dolby, la grande révolution à mon sens, a été le Dolby Digital 5.1. A partir de là on est arrivé à un nouveau palier. Le reste n’a que peu d’importance. Mais même avec mon installation 5.1, j’écoute en stéréo 2.0. J’ai revendu le caisson et débranché les surrounds et l’enceinte centrale

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100% d’accord ! J’ai la chance d’avoir une voiture qui a une chaîne hifi Burmeister avec Dolby Atmos et bien j’ai eu bien du mal à trouver un seul fichier audio dans ce format ! Il n’y a quasiment que des films vidéo. En fin de compte, j’ai pris un abonnement Amazon Music où il y a quelques titres en Atmos. Le problème, c’est qu’en format Atmos, il peut y avoir des remix douteux et bricolés mélangés avec des mastering officiels des artistes.
Sinon, j’ai rippé en format flac des Cd audio pour les lire en usb.
Sur ma chaîne hifi de salon, j’ai des SACD, des DVD Audio et les quelques Bluray Audio qu’Universal avait vendu dans les FNAC il y a quinze ans environ: le son échantilloné en 24 bits est sans comparaison avec le 16 bits des CD.
Pour la radio, je suis très étonné que le DAB+ ait une restitution inférieure aux radios internet MP3 sur FIP, Crooner radio ou FG Chic.

Ah… le son SACD. Il faut vraiment l’écouter pour se rendre compte de ce que c’est quand on l’écoute sur du bon matériel.
A l’époque, j’ai réussi, aussi, à récupérer quelques disques « étalons » et des SACD de Dire Straits, Pink Floyd, Supertramp, et du Jazz manouche … achetés direct des USA.
Dommage que cela n’a pas pris.

Je ne suis pas trop radio à part FIP et TSF-Jazz en FM et DAB+.
Je n’ai pas remarqué trop de différences entre les version FM et les version DAB+ à part une atténuation de 6dB en DAB+. Mais FIP en FM est déjà bien réputé pour avoir une très bonne séparation en diaphonie et rapport signal/bruit. Les autres radios c’est, comment dire… trop de « compression audio » (je ne parles pas de la compression numérique) qui égalise trop les plages de fréquences.

ça serait aussi bien qu’ils fassent en sorte que dolby vision fonctionne sur pc car acheter du matos de compète pour se retrouver avec un pauvre hdr10 moisi c’est pas terrible, idem pour la ps5