Aujourd’hui 13 octobre et demain 14 octobre 2025, les ministres européens vont devoir prendre une décision concernant le projet de loi CSAR, plus connu sous le nom de « Chat Control ». Ce texte, pour le moins controversé, entend mettre fin à la confidentialité des communications numériques en Europe telle que nous la connaissons aujourd’hui.
vous auriez du avoir un titre honnete: « Chat Control: Mise sur ecoute permanente de la totalité de la population »
le problème comme on le voit en Angleterre ( voir chaîne youtube de Théo MALINI ) ,c’est que ça apporte plus de problème que de solution.
Ils ont beau faire ça en Angleterre, ça n’empêche pas le crime organisé,le communautarisme.
Au dernieres nouvelles le gouvernement Allemand a dit qu’il sera contre chat control. Le plus impressionnant quand on voit une map de l’europe, se sont tous les pays du centre et de l’est qui sont contre, eux ils savent ce que c’est la surveillance généralisé
Le vote a été reporté, la présidence danoise du Conseil de l’UE espère trouver des compromis avec notamment l’Allemagne, convaincre les indécis et remettra tout ça sur la table en décembre.
Il n’y a toujours pas de majorité et c’est encore une énième fois reporté. Il serait temps soit de trouver un compromis plus léger comme un contrôle ciblé et volontaire soit arrêter vr projet de surveillance qui de toutes façons ne sera probablement pas efficace… Ce sont les gens qui majoritairement n’ont rien à se reprocher qui risquent d’être les plus surveillés pendant que les vrais criminels iront ailleurs.
Une nouvelle fois, nous sommes sauvés par l’Allemagne.
Mais ne soyez pas dupes, le Conseil de l’Union Européenne n’abandonnera jamais un projet de loi qui sous le prétexte de protéger les enfants de la pédocriminalité, permettra de mettre en place un système de surveillance généralisé pour plus de 400 millions d’individus.
On commence par évoquer la lutte contre la pédocriminalité, pour éviter toute contestation, puis on élargit à la lutte contre le terrorisme (pas d’opposition) et là on obtient un système qui surveille et contrôle toute une population.
Quand une société vous parle de supprimer une liberté (votre droit au respect de la vie privée) pour votre sécurité, c’est le signal que cette société s’éloigne inexorablement d’une démocratie.
Enfin à ceux qui soutiennent ce projet, vous êtes vous demandés :
- est-ce que dans un régime autoritaire / dictature, le respect de la vie privée est respecté ?
- pourquoi les législateurs de l’Union Européenne sont exclus de ce mécanisme de scan ?
- comment un tel dispositif de scan pourra-t-il être audité, contrôlé afin de vérifier qu’il réalise ce qu’il est censé faire ? Indice de réponse : impossible à vérifier vu le nombre de solutions qui seraient développées et le nombre de plateformes concernées