L’IA capte de plus en plus les sons émis par les animaux. Elle identifie des motifs et classe des vocalises. Pourtant, décoder ces signaux demande encore l’aide de l’observation humaine. L’IA seule ne suffit pas à saisir ce que veulent vraiment dire les animaux.
De plus, chaque espèce a son propre langage, souvent complexe, nuancé et lié à l’environnement.
Et chaque groupe d’individus d’une même espèce peut avoir un langage propre.
Comme les familles d’orques qui vivent à des milliers de km l’une de l’autre.
Comme les humains n’ont pas la même langue ou culture suivant leur zone géographique.
Bref…