Le 13 octobre, la fusée New Shepard 3 a effectué son septième vol d’essai, le sixième consécutif à atteindre l’espace. Le lanceur et la capsule – qui emportait des expériences scientifiques – sont revenus se poser à l’endroit prévu. Toutefois, malgré ce succès, les vols habités de Blue Origin devront attendre l’arrivée de la New Shepard 4, toujours retardée.
Un «taux élogieux» ? Ça sent la traduction automatique…
J’ai créé mon compte pour dire ça : la photo de la fusée, la source de l’article. Voilà.
Merci, bonsoir.
Et où est le problème ?.
Elogieux : qui fait l’éloge de quelqu’un ou quelque chose.
Les cinq vols de la New Shepard 2, comme les sept vols de la New Shepard 3, ont tous été des succès, avec récupération totale des boosters et des capsules.
12 vols, 12 succès, je pense que les termes taux élogieux ne sont donc pas exagérés.
C’est le taux qui fait l’éloge ?
« ils ont parlé du taux en des termes élogieux », là ça sonne mieux, par ex.
Je suis pas sûr que la comparaison à SpaceX fasse sens les lancements n’ont absolument rien a voir ne serait-ce qu’en terme des vitesses et des trajectoires.
C’est « plus simple » d’envoyer une fusée purement verticalement et de la faire revenir, que les manœuvres qui sont faites du côté de SpaceX qui a une vélocité bien supérieure, mais surtout qui est très forte aussi bien verticalement qu’horizontalement.
SpaceX envoie sa charge en orbit, Blue Origin envoie ses passagers quelques minutes en appesanteur, avant de « laisser » la gravité faire le boulot. Pas besoin de ralentir en entrant dans l’atmosphère, …
Autant ce que vous dites est vrai, autant la fin est fausse. Il faut forcément ralentir en traversant l’atmosphère car sinon, l’échauffement dû au frottement de l’air est fatal au vaisseau. Autant à la montée, on ne cherche qu’à gagner le plus de vitesse possible vu qu’on est limité par la poussée des moteurs, autant à la descente c’est un vrai problème car ralentir le vaisseau est très difficile avec un vecteur g qui vous ajoute chaque seconde, 10m/s de plus à votre vitesse. Il y a récemment eu des avancées sur les générateurs plasmas qui permettent de changer considérablement la densité du gaz autour du vaisseau et donc de limiter cet échauffement, mais cela reste pour l’instant réservé aux militaires.
je me trompe peut être mais de ce que j’ai vu du lancement de Blue Origin il ne semble jamais allumer le moteur du booster entre la coupure après avoir terminé sa phase de propulsion ascendante, et le moment où il est allumé une seconde fois à l’atterrissage.
Là où chez SpaceX à chaque retour il y a cet allumage supplémentaire qui est nécessaire à l’entrée dans l’atmosphère.
A moins que ce soit l’angle d’entrée qui nécessite cette manoeuvre, ou la vitesse horizontale chez SpaceX absente ou en totu cas bien moins importante chez Blue Origin.