L’équipe cycliste professionnelle a créé un programme qui exploite les données collectées par les cyclistes amateurs. À l’aide d’AWS, elle espère détecter ses futurs champions.
Ça coûte cher le dopage, normal qu’on essaie de cibler ceux chez qui ça sera le plus efficace!
Le cyclisme est l’une des activités au monde les mieux tracées 
avec des contrôles inopinés, plusieurs pour chaque coureur chaque année, qu’ils soient en vacances, en compétition ou à l’entraînement, le jour et… parfois la nuit.
Il faut arrêter avec le dopage, là on parle d’idées reçues et d’une, deux, voire trois décennies en arrière…
Oui bien sûr, le dopage c’est de l’histoire ancienne… Maintenant on est passé à l’électrification.
Que tu ne sois pas d’accord c’est une chose, mais effacer mon commentaire avec le lien vers L’ACTUALITÉ du dopage [mécanique] en cyclisme…
Pour la peine… retour aux bonnes vielles substances…
Et on ne connait que ce qu’on découvre (et sait tester).
Bref, les bisounours, c’est beau.
Il n’y a que peut être la pétanque qui ne dope pas (on ne parle pas de l’alcool) le Ricard est moins chère.
Je suppose que ça te dérange moins le dopage dans le foot ou l’athlétisme ?
Est-ce que c’est une news sur le foot?
NON!
Je vais te causer un peu de mon expérience personnelle, quand j’étais gamin, un amis de la famille cycliste (ma mère est une cycliste amateure), nous a littéralement dit, à l’époque de Richard Virenque, « Il est très fort, mais faut qu’ils arrêtent là, ils vont le griller bien trop vite »…
Quelques mois plus tard il tombait à l’insu de son plein gré (et c’est tant mieux, comme ça son organisme n’aura pas finis grillé).
Bref, le dopage est endémique aux sports, certes, mais c’est de cyclisme qu’il est question ici.
Et dans le cyclisme, on investis comme partout ailleurs dans les plus forts, donc savoir qui sera le plus fort et dans lequel « investir » le plus est un atout non négligeable, quelqu’en soit la motivation (et le lien que j’avais mis plus haut le disait très clairement, on va pas doper des bourriques).
Mais on peut parler des autotransfusions de Zidane si tu veux…
Pour le vélo la meilleur chose serait de mettre en quarantaine tout les cyclistes avant le départ, le problème est que si il modifie moléculairement un dopant à la base et qu’il inconnu dans les produit dopant il est autorisé.
C’est ce que je disais,
Tu parles des décennies précédentes Virenque, c’est la fin des années 90.
Ah oui, autre chose, je n’ai pas effacé ton commentaire, car d’une part : je n’en ai pas le pouvoir, je ne suis qu’un modeste journaliste, et en plus, je ne l’avais même pas vu. L’équipe de modération a dû passer par là j’imagine, et j’ai toute confiance en elle pour faire les bons choix.
D’autant plus que tu continues à ne parler que de dopage, alors que ce n’est absolument pas le sujet de l’article.
(Sans oublier le fait que tu fais de GROS raccourcis sur le dopage dans le cyclisme. Comme je te l’ai expliqué, les contrôles sont très, très nombreux, et le cyclisme n’est pas le sport dans lequel il y a le plus de cas (comme l’indique d’ailleurs l’article de l’Equipe, alors qu’il est, sans aucun doute, le sport pro le plus terrible au monde physiquement)
Enfin bref, le sujet de l’article, c’est pas le dopage, mais l’étude des données des cyclistes sur la détection des futurs champions 
Et ce n’est pas non plus une news sur le dopage. 
Non, mais cette news traite d’un excellent moyen pour des « équipes » pas très nettes de savoir qui « vaut le coup » ou pas d’être boosté.
Désolé si l’histoire de ce sport m’a fait tout de suite relier les deux.
Et les deux liens que je te mets qui répertorient les cas confirmés (combien passent à la trappe?) de dopage en cyclisme en 2019 et 2020 (je paraphrase « le nombre est plus faible en 2020 à cause du covid », pas à cause de l’honnêteté grandissante du monde financiaro-sportif), ça se passe des décennies avant?