Lorsqu’on cherche une banque d’images gratuites, il est commun de se tourner vers Google Images, le moteur de recherche d’images de la célèbre entreprise. Après tout, le site possède le plus grand choix d’images sur Internet. Mais on pense souvent à tort que l’on peut se permettre d’enregistrer n’importe quelle image que l’on y trouve gratuitement, sans conséquence. Pour éviter les mauvaises surprises, il vaut mieux être au courant des bonnes pratiques !
Perso je trouve la recherche d’image Bing bien meilleure à utiliser.
Je suis dubitatif. Pour moi Google Images n’est pas à proprement parlé une banque d’images mais plutôt un moteur de recherche non? A part ca je trouve cela très pratique mais effectivement il faut faire attention aux licences.
je dois taper les mauvais mots cles, pourtant en anglais, je trouve que bing est toujours a cote de la plaque. ceci dit je cherche plus des informations (oui dans les images) que des trucs libre de droit.
surtout avec les recherches conditionelles difficile de faire mieux que google. J’ai voulu aimer ecosia ou DDG, mais pff la c’est la cata
« Google Images (2022) : la banque d’images gratuites qui n’en est pas vraiment une »
pour arriver à : « Google Images n’est pas une banque d’images gratuites à proprement parler, puisque Google n’héberge pas lui-même les images »
Ok.
Merci Google Image de m’avoir permis d’utiliser des images quelconques sur un blog quelconque et non visité qui m’ont valu droit à une tentative d’extorsion de fonds de l’AFP (courrier d’avocat à l’appuie …) évidement je n’ai jamais répondu et cela semble être la seule chose efficace à faire. Des centaines d’autres personnes à travers le monde se font rançonner de manière tout à faire « légale » c’est incroyable.
Bref méfiez vous de toutes les images que vous trouvez sur Google Image pour illustrer vos sites, quand bien même vous citez / mentionnez le preneur de la photo.
Ben oui. Parce que le droit d’auteur, c’est pas le droit de pomper en citant juste l’auteur… Ce n’est pas de la faute de Google Images si tu ignores la loi hein…
Sur le principe je suis d’accord… Dans les faits c’est trompeur et agaçant mais peu importe je sens bien que tu es un monsieur « c’est bien fait c’est la loi » tu verras en grandissant que parfois même en étant carré tu peux te faire avoir…
Pour l’anecdote le pire c’est que les dites photos faisaient parti d’une news de l’AFP donc avec citation, lien etc et ne faisaient que promouvoir leur propre publication. On ne m’y reprendra plus.
J’ai surtout grandi suffisamment pour assumer mes responsabilités quand je fait une connerie et pas prétendre que c’est la faute d’un autre…
Mais bon, c’est la mode aujourd’hui de ne plus jamais être responsable de rien, faut toujours le mettre sur le dos d’un autre.
Et le jour où on viendra me reprocher d’avoir repris sur mon site une image dont j’avais pas les droits, ben j’assumerai ma connerie, j’irai pas reprocher quoi que ce soit à Google…
Le manque d’information sur la propriété est ce que je reproche à l’affiche des images sur Google image. Je ne suis pas juriste.
Forcément, Google ne peut pas déterminer automatiquement qui est le propriétaire de n’importe quelle image trouvée sur le web et sous quelle licence il l’a mise, s’il y en a une… Comme le rappelle l’article, ce n’est pas une banque d’image, où les auteurs soumettent leurs images, mais bien un moteur de recherche…
Il ne peut donc connaitre les licences que pour les photos qui ont été correctement taggées sur le site où Google les a trouvées.
Et en tant qu’utilisateur, le raisonnement à avoir, ce n’est pas que si rien n’est indiqué, on peut l’utiliser, mais bien l’inverse : si l’image n’est pas marquée explicitement comme étant sous une licence permettant sa réutilisation, on doit partir du principe qu’on n’a pas le droit de la réutiliser. Pas besoin d’être juriste pour savoir ça. C’est le même principe que si tu vois un sac sans nom dans l’espace bagage d’un train, t’as pas le droit de le prendre sous prétexte que ce n’est pas marqué à qui il est…
Et si on la réutilise quand même, c’est à ses risques et périls, ce n’est pas la faute de Google.