Vous confondez vraiment TOUT!! Un logiciel ne “tombe” JAMAIS dans le domaine public, ce n’est pas une chanson ou un livre !!
Si vous croyez qu’il n’y a que les œuvres artistiques qui tombent dans le domaine public c’est que vous ne connaissez pas vraiment le sujet.
A lire l’article en lien je dis « bravo ! »
Pas de procédure d’appel d’offre pour un tel marché on est dans le grandiose.
Et quel manque de clairvoyance, Facebook aurait payé pour avoir ces données😂
L’état français devrait faire avec nos données personnelles comme avec la 5G
Les mettre aux enchères et les vendre au plus offrant.
Y’a p’tete plein de pognon à se faire !!![]()
Séparer YouTube de Google ?
Pourquoi pas, du moment que les services soit toujours aussi bien intégrés les uns aux autres, ça ne me choquerait pas outre mesure.
Concernant Apple, ça rejoint ce que je disais sur la news Epic : ils doivent séparer le monolithe matériel-logiciel, tout en gardant leur qualité et leur sécurité. C’est un challenge mais c’est atteignable.
Au niveau communication, ils peuvent montrer ça comme des possibilités supplémentaires, sans modifier leur image de marque d’excellence.
« Idem pour Amazon c’est plutôt les conditions Qu’il impose aux fabricants le problème, sur les autres secteurs c’est un poussin. »
Amazon est un géant du Cloud…
Merci pour cette précision
J’avais oublié cette activité d’Amazon.
Je me demandais qui était en tête entre AWS et Microsoft au niveau du Cloud.
Mais c’est toi qui n’y connaît rien !! Cite moi un seul logiciel qui est tombé dans le domaine public !!
Espèce de rigolo !!
Sur le Cloud en général Microsoft est devant vu qu’ils font tout (SaaS, PaaS, IaaS etc.)
Par contre sur l’infra (IaaS/PaaS) Amazon est devant
le TU et le « rigolo » vous oubliez
Je reste poli donc vous aussi
Quand on sera pote à se jeter des bières, se taper sur les cuisses et raconter des blagues cochonnes vous aurez le droit d’être familier.
Pour votre information puisque visiblement vous ne restez qu’à la surface des choses.
Un logiciel en tant que tel n’est pas brevetable mais ses constituants se protègent comme n’importe quel produit.
protégeable par :
le droit spécifique du logiciel (qui protège le code source du soft) ;
le droit d’auteur (classique) qui peut protéger l’interface sous certaines conditions ;
le droit des bases de données (le cas échéant) ;
le droit des marques (l’exemple de la marque « Word » démontre que ce mode de protection est aussi efficace qu’un brevet !) ;
le droit des dessins et modèles (parfois sur des icônes ou interfaces par exemple disposant d’un caractère propre).
Aucune protection n’est éternelle.
Suivant sa nature et les lois du pays au bout d’un certain temps les droits s’éteignent et le procédé, le code, le brevet, l’œuvre, etc. tombe dans le domaine public.
Les éditeurs l’ont parfaitement compris puisqu’ils déposent régulièrement des demandes quand il modifie leur logiciel pour pérenniser leurs droits le
Plus longtemps possible.