La promesse de l’anonymat en ligne serait-elle un leurre quand il s’agit de certains VPN ? Une nouvelle étude met en lumière les pratiques douteuses et les failles de sécurité de trois familles de VPN gratuits et très populaires sur le Google Play Store.
Un réseau privé virtuel (RPV / VPN) est exactement ce que son nom indique, donc les données transitent chez le propriétaire de ce réseau privé.
Par extension ou simplement facilité, beaucoup l’ont associé à « réseau sécurisé cachant mon identité à mon FAI et aux Autorités », en oubliant que ces données continuaient à aller chez quelqu’un.
C’est l’équivalent d’embaucher un gardien de sécurité, lui donner les clés de la maison, et sans s’interroger sur ses compétences, sa fiabilité ou vérifier son travail. Et ce gardien vous dit que vous n’avez pas besoin de le rémunérer.
Le quidam non initié est très candide.
J’aime bien l’analogie
Par contre, si Clubic pouvait écrire en français, ce serait mieux : « elles NE sont vraiment pas ». Ça pique les yeux dans un gros titre en gras.