Atos s’est lancé dans plusieurs opérations qui devraient lui permettre d’afficher un meilleur bilan financier à l’avenir.
je suis désolé d’avoir contribué à la chute d’atos en ayant osé demandé une augmentation de 1000 euros annuel.
Attend, ils ont accepté ?
A l’époque j’étais technicien de terrain, je faisais entre 50 et 65h par semaine pour 1150€ net par mois. Toute la journée mon chef critiqué mes interventions et me traité de fainéant, demander une augmentation ou au moins payer mes heures supp (qui pour eux en était pas, ils considérer que les temps de routes n’étais pas du travail effectif, je faisait plus de 10k km par mois) c’étais clairement hors de question !
Forcement, si Atos a pu enfin commencer a payer ses employés correctement, suite au départ de breton, je comprends mieux le plongeon !
La seule société informatique qui au lieu de développer des programmes développe des bugs
J’ai été technicien informatique pour wanadoo et embauché par ATOS. J’en garde un très mauvais souvenir…
Emprunter c’est « facile ». Rembourser c’est plus dur.
Ils pourraient vendre Aramis Auto?! (joke)
C’est la base du métier, sinon comment justifier les contrats de maintenance!
Je me rappelle qu’avant même d’avoir mon diplôme j’étais harcelé de coups de fils de recruteurs avec tous le même discours, le même salaire… sauf Atos : 8K de moins !
J’ai tellement été surpris que j’ai très sérieusement demandé au gars « c’est une blague ? »
Alala, Atos, heureusement que j’ai jamais signé chez eux vu les retours que j’avais de certains amis
J’ai fait une mission chez eux pour un constructeur auto. Je n’avais pratiquement que des collègues délocalisés, des développeurs indiens ou à pas cher. Certains parlaient très mal le français et leur anglais était à peine mieux. Un décalage complet entre les compétences exigées et l’inintérêt du travail. Les rares français coachaient des petites mains sous-payées dans des pays comme la Roumanie. Total, nous étions très peu sur le projet en IDF dans des bureaux sans âme et nous ne connaissions même pas la tête de certains de nos « collègues ». Un côté « Brazil »… le film dystopique.
Faire carrière dans un truc pareil est inenvisageable, un repoussoir. Même bosser à la poste, ça fait plus rêver.
« ils considérer que les temps de routes n’étais pas du travail effectif »
J’adore quand un employeur te sort ce genre de remarque ; si on se déplace c’est dans le cadre d’une mission pour le travail ; donc oui, c’est du travail et oui, ça doit être pris en compte dans les heures travaillées (d’ailleurs, je crois que des jugements ont été rendu dans ce sens)
Ça dépend de plein de facteurs, et notamment de la convention collective et de la nature du développement. Par exemple dans mon ancienne boîte, on était en convention métallurgie, le surplus de temps de trajet pour aller chez le client par rapport à l’agence n’était pas compté dans le temps de travail pour les « sédentaires » (affectés à plein temps chez un client), sauf au delà d’1h30 aller-retour, mais les déplacements dans la journée (en dehors donc du trajet du matin et de celui du soir) pour les itinérants étaient comptés intégralement comme du temps de travail.
C’est sympa ce genre d’article mais quel est le lien entre Atos et Airbus : soit l’activité est rentable et faut surtout pas la vendre… Soit Airbus est le plus gros client et il y a une synergie…