Les jours de Windows 10 ont beau être comptés, Microsoft ne l’a pas encore remisé. Si bien que le système d’exploitation continue de recevoir des mises à jour de fonctionnalités sporadiques. Dernière en date : un menu Démarrer légèrement retouché.
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« les ordinateurs ne réunissant pas les conditions matérielles pour accueillir Windows 11 et qui devront, vraisemblablement, être envoyés au recyclage »
Ou les passer sous linux, ou prendre un abonnement aux maj de sécurité qu’ils prévoient…
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… ou s’assoir sur les MAJ 
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Bref, on retrouve un peu ce qui existait déjà sur Windows 7 et retiré depuis Windows 8.
S’asseoir sur les MAJ, je l’ai envisagé mais on va plutôt migrer sur Linux.
En ce qui nous concerne (ma famille et quelques amis), on à décidé de passer sur Linux (KDE Neon 6.1). On y retrouve avantageusement tout ce que l’on a besoin (y compris l’ergonomie) et si ça n’existe pas en natif, ça tourne sur WINE 9. Pour les jeux de mon fils il y a Proton qui marche très bien et avec les mêmes perfs (voir mieux que sous Windows).
J’invite vivement à tester et, parfois, il faut remiser ses craintes et tester aussi les autres OS.
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Il arrive même que Linux soit plus compatible que Windows 10/11 lui-même pour certains softs « délaissés ».
KDE est un excellent choix: il intègre toutes les futures innovations de Microsoft pour les 5 ans à venir.
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Passer sur linux est loin d’être la mort, loin de là, pour ce qui pense que Linux=terminal en plein ecran .| …
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Je confirme que KDE Neon est un excellent choix. Je suis dessus depuis le 1er jour et je ne le regrette pas.
A savoir que KDE Neon est connu pour être la meilleure intégration de KDE Plasma sur l’ensemble des distributions Linux. De plus, avec ArchLinux, elle fait partie des plus réactives en terme de mise à disposition des nouvelles versions : le mainteneur principal de KDE Neon est l’ancien mainteneur de Kubuntu et un membre du projet KDE.
Pour en revenir au sujet, la fin de support Win10 (dans un an) et le contexte de cybercriminalité ainsi qu’économique vont générer une situation où GNU/Linux apparaît comme la meilleure porte de sortie sur tous ces aspects. Mon sentiment, c’est que MS s’est tiré une balle dans le pied avec cette histoire de fin de support Win10.
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Tout à fait, tout s’installe à la souris et il faut au bas mot 10 minutes pour avoir un système installé et à jour.
Lors de l’installation, le clavier ne sert que pour :
- Le libellé du compte
- Le nom du compte
- Le nom de la machine
- La définition du mot passe
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Juste pour vous le dire : le titre de l’article est complètement bancale… il faut faire un effort d’abstraction pour comprendre le message 
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Affaire à suivre mais je ne pense pas :
- Difficulté à trouver du personnel connaissant autre chose du Linux pour administrer un réseau avec des linux en Desktop
- le grand public a toujours connu du Windows depuis tout jeune à l’école et l’Homme n’aime pas changer
- aime faire comme tout le monde …
Je pense que le grand public est plus à même de se plier aux règles de Microsoft. C’est pourquoi je reste que Microsoft à calculer la probabilité de perte de part de marché
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La fin de support de win10 c’est habituel, pour un OS de 10ans d’age.
Le vrai problème c’est l’exigence matérielle délirante pour ce windows 11
Chez mes parents le pc fixe principal est en ryzen 2600 et j’ai laissé aussi un de mes vieux pc en I7 6700K. Le ryzen est en win11 mais le 6700K il restera en win10 même après la fin. Je ne vais pas m’embêter avec un win11 en installation forcée (et un possible problème d’activation (car parti d’une clé win7)) car il ne sert que pour du jeu en réseau (genre en coop sur les 2 pc) qq heures par trimestre (au mieux).
Retenter un linux? ce serait surement pas bête (si les pilotes nvidia sont + au point?) mais en fait je préfère me faire une partie plutôt que de le bricoler ce pc là quand je suis avec des proches
Sinon la solution est de te renseigner sur le forum d’une distribution tel que celle Ubuntu par exemple.
Tu as une question avant l’installation sur par exemple la vérification des différents pré-requis.
Mais en effet mieux vaut éviter NVIDIA et préférer soit Intel soit Radeon pour avoir le pilote libre.
De plus rien ne t’empeche d’envisager le projet de linux en plusieurs fois. La première fois, tenter de lancer un Linux sur une clef pour essayer de voir ce que cela donne.
Puis petit à petit d’explorer de creuser la piste en t’aidant des forums voir des canaux Telegram (tu as Ubuntu, Debian, … ) pour te faire aider …
C’est exactement la méthode que j’ai appliqué. Et commencer à tester à partir d’une clé USB (pas en live CD mais installé) c’est certainement la meilleure façon de s’initier sans risques. Si on déconne, on recommence.
Au début je partais avec beaucoup de préjugés. Mais j’ai voulu re-essayer Linux et ça n’avait plus rien à voir avec les Linux « en ligne de commande » que j’ai connu il y a 10 ans.
Et puis sur KDE Neon (Plasma 6) on reprend goût à la personnalisation et aux thèmes avec des styles Windows XP, Seven, Win 10, Win 11 ou totalement S.F.
Après la problématique de @Feunoir ne semble pas être la même chose que tes préjugés.
De ton coté, tu pensais que Linux était plus compliqué que Windows, qu’il fallait faire de temps en temps de la ligne de commande. J’en lis des messages comme ça encore ici sur Clubic. Les préjugés ont du mal à se défaire, bravo à toi. 
La crainte de @Feunoir est le support de sa carte graphique. S’il avait une Radéon ou Intel, cela passerait crème. Mais il est vrai que certaine Nvidia ont parfois quelques soucis surtout les anciennes. Et du coup, c’est un peu moins out of box.
Mon PC, je l’installe en 20 min chrono et tout est reconnu parce que j’ai PC sans Nvidia 
@Joeee et à tout le monde :
Il y a toujours des contraintes, soit logicielles ou soit matérielles, pour profiter pleinement d’un système d’exploitation, du moins selon ses propres besoins personnels.
C’est Microsoft qui a trouvé le dictat de la disponibilité des drivers pour son système pour ne pas subir de pertes de parts de marchés, dès le départ.
Quant à Linux, je trouve que le système s’est toujours trop éparpillé entre les différentes distributions : les énergies disponibles se sont trop dispersées, ce qui à mons sens a ralenti sa progression d’autant plus qu’il n’y avait pas beaucoup d’utilisateurs. Il y a 15 ans et plus, je devais réécrire, après chaque mise à jour, un point de montage CIFS pour un ancien NAS Western Digital qui n’acceptait que Windows ou Mac mais pas SMB donc il n’était pas accessible via Linux/Samba. D’autres fois on devait monter des modules du noyau à la main pour charger des drivers.
Windows 11 ne m’a pas posé problème mais je conçois que c’est une plaie pour beaucoup avec ses limitations matérielles. Cette sortie contestable ne serait-elle pas un peu prématurée, vu le chaos que cela a généré ? Ou bien alors, que Microsoft ne se plaigne pas du parc mondial à 60% pour Windows 10. Après tout, dès sa sortie, il voulait que le maximum de personnes pour le pas dire le monde entier soit sur Windows 10, présenté comme le der des der. lol
Salut @Francis7,
Je suis en phase avec tes points de vue. En effet, quelque soit son système, il faut faire attention à la compatibilité pour le matériel.
Cependant, je ne dirais pas que Microsoft à trouver le dictat de la disponibilité des drivers, je dirais plutôt que du fait de l’ultra domination de Windows sur le marché, les constructeurs sont dans l’obligation de développer un pilote. Ils ne peuvent pas faire autrement. Cette situation vient de la part de marché.
Et Microsoft a réussi créer une certaine ignorance auprès du public permettant une invisibilité de la concurrence, ainsi de créer le cercle vertueux que les entreprises ont du mal à trouver des compétences et c’est le serpent qui se mord la queue.
Par exemple un truc complétement délirant, l’histoire d’un prof informatique :
le lycée fréquenté par mon fils, le prof de techno responsable de « l’éducation au numérique » ayant demandé aux élèves d’amener le portable fourni par la région en classe pour travailler dessus s’arrête pile devant celui de mon gamin. Il lui demande quelle est cette version de Windows qu’il utilise et le morpion (qui a un sens de l’humour particulier ) lui répond que c’est la version windows ubuntu 18.04 LTS (ben quoi il avait un peu modifié le portable anémique ssd, 8 go de ram et linux).
Là dessus le gus prend portable le montre à la classe et se lance dans une longue diatribe sur le danger d’utiliser des versions piratées de Windows.
Ça aurais pu être hilarant si le gus n’avait pas été son prof d’informatique pendant les trois ans de lycée et s’il avait plaisanté.
Commentaires : Manifest V3 : la terrible menace pour les bloqueurs de publicité, pas si inéluctable qu'on ne l'imaginait? - #11 par max6
Tu comprends comment Microsoft a réussi à rendre dès le plus jeune age à créer un biais, à créer une ignorance et réduire l’esprit critique. Je passe sur la vente liée sans proposer en option qui masque les autres possibilités aux yeux du public.
Et le support matériel est directement lié au part de marché …
Je dirais surtout que c’est un désastre écologique. Devoir mettre à la benne des PC fonctionnel et relativement puissant.
Après tel que je comprends, l’idée que Microsoft a derrière la tête est d’accélérer le renouvellement du parc informatique des gens pour qu’ils achètent des PC copilot au plus vite.
Microsoft dépense des fortunes dans l’IA et souhaitent un maximum de personne utilise Copilot + Recall.
Et Microsoft sait qu’il y a une énorme fidélité de ses clients (y compris entreprise) et accepteront de faire des concessions. Microsoft fait du forcing. Une entreprise classique avec moins de part de marché ne pourrait pas se permettre parce que le public serait plus exigeant et susceptible d’aller voir ailleurs.
Garde bien en tête qu’il y a que 3-4 grosses distributions et pas plus et après ce sont des dérivés avec 1 ou 2 personnes travaillant sur leur projet et le propose.
Pour les entreprises, tu as Cannoncial et Red Hat.
Mais cela dit, je te rejoins dans une moindre mesure.
Chapeau bas si ton NAS n’acceptait pas le protocole Samba mais que tu aies réussi malgré tout à faire un point de montage.
Il y a 15 ans, c’était à peu près du temps des premières versions d’Ubuntu. Ubuntu a fait beaucoup de chemin depuis en essayant de rendre accessible toujours plus facilement Linux au plus grand nombre, en s’efforçant de supporter toujours plus de matériel. En 15 ans, il s’est passé beaucoup de chose.
Je vais reprendre point par point :
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Certes, mais quand la nécessité est là, soit les gens se forment soit ils se font remplacer. Les solutions post-Win10 proposées par MS vont faire péter les seuils d’acceptabilité technico-financières. L’inenvisageable d’hier devient aujourd’hui une porte de sortie.
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Oui l’homo-habilis (je dirai plutôt conso-habilis) n’aime pas changer … jusqu’à son seuil de tolérance. Après, c’est foutu, il est motivé à changer et toutes les promesses d’alcoolique que pourront faire les fournisseurs n’y changeront rien. L’arrêt de Win10 et les prérequis Win11 sont des éléments majeurs sur l’exercice.
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C’est ton avis … mais les utilisateurs non-techniques autour de moi se plaignent systématiquement de ce que MS impose. Pour l’instant, ils ne veulent pas changer, mais on verra bien ce qu’il va se passer l’année prochaine. M’est avis que les cercles amicaux et familiaux vont se rappeler très vite qu’ils sont un geek dans leur carnet d’adresse pour les sortir de l’ornière dans laquelle MS les aura précipité.
PS : je vais ressortir mon tee-shirt « I won’t fix your computer »
Des gens qui se plaignent déjà des changements somme toute relativement faibles que Microsoft impose d’une version à l’autre de Windows, il y a peu de chances qu’ils acceptent les changements encore bien plus importants qui accompagnent le passage à un autre OS.
Win11 = je change de machine … et là, ce n’est plus juste un problème d’utilisation mais un problème financier d’autant plus que le hardware est opérationnel. C’est la partie logicielle qui pêche dans l’histoire, pas le matériel.