Commentaires : Après Ubisoft, Insomniac Games éclaboussé par une vague de témoignages de harcèlement sexuel

À l’instar du septième art, l’industrie vidéoludique est en train de faire sauter les verrous de l’omerta. Les employées sont de plus en plus nombreuses à remonter les cas de harcèlement sexuel ou de discrimination dont elles sont victimes. Après Ubisoft, qui a entamé la semaine dernière une série d’enquêtes pour faire la lumière sur de multiples et inquiétants témoignages (via Gamekult), c’est Insomniac Games qui voit ces derniers jours son image écornée par de troublantes accusations.

1 « J'aime »

« Les fausses promesses, les opportunités d’évolution illusoires » : y a quoi comme harcèlement sexuel là-dedans ? Vous n’avez jamais travaillé dans une grosse boite ? ou travaillé tout court ?

5 « J'aime »

Vous avez lu le paragraphe au-dessus ? Vous savez, celui où il est question de « vannes graveleuses et insistantes » et de « déclarations ouvertement sexuelles ».

1 « J'aime »

Il y a hélas de plus en plus de commentaires assez déplacés sur Clubic…

Pour ajouter plus d’infos : des articles en Anglais (ex: Kotaku) parlent même de relations sexuelles forcées ("sinon ta carrière est foutue) et de viols. Une bien belle boite tout à fait normale? J’espère que non.

2 « J'aime »

Vous avez raison.

Merci pour l’info sur Kotaku, je vais aller lire ça et déprimer un bon coup.

Une solution…On fait comme ça existait à une époque pour les écoles (écoles pour filles et écoles pour garçons) et on applique ça aux entreprises, comme ça fini les plaintes pour harcèlement (en tout cas du sexe opposé).

Non pour deux raisons :

  • c’est nier le problème au lieu de le corriger;
  • ce problème de sexisme est propre à l’informatique; les autres domaines ont bien moins de problèmes. Voir par exemple le ratio homme/femme dans quelques domaines demandant des formations assez poussées, il y en a un qui cloche à cause de c******s qui poussent les femmes dehors depuis la seconde moitié des années 80s :
2 « J'aime »

Non, la solution n’est pas de masquer le problème pour l’amplifier, mais d’arrêter les auteurs de ces soucis, que l’on apprenne à vivre ensemble et à dénoncer les horreurs de quelques uns (qui sont bien trop).

Les statistiques montrent que le harcèlement sexuel au travail est majoritairement (attention pas seulement) le fait de femmes sur d’autres femmes.
C’est exactement comme les noirs aux Etats Zunis, ceux qui tuent le plus de noirs sont d’autres noirs.

J’imagine qu’il y a aussi des statistiques là-dessus ?

Vous devriez avoir honte de tenir de tels propos, outre le fait que vous n’avez clairement pas lu (ou su lire l’article), votre allusion à une situation « normale » en grosse boite comme vous dites est tout simplement affligeante.
Travailler dans une boite qu’elle soit petite ou grosse doit se faire dans le respect.
La drague, la provocation, le harcèlement, l’intimidation, le chantage et j’en passe n’y on pas leur place tout comme dans le reste de la société !

J’espère sincèrement que vous n’êtes pas responsable de quelqu’un dans votre grosse boite ou que vous ne le deviendriez jamais, car avec une telle mentalité c’est vraiment effrayant.

Les statistiques montrent que le harcèlement sexuel au travail est majoritairement (attention pas seulement) le fait de femmes sur d’autres femmes.

De l’art de balancer une intox puante invérifiable et probablement fausse pour nier le problème… Source?
Les relations sexuelles forcées et viols dont parle l’article seraient donc « le fait de femmes sur d’autres femmes »?

C’est exactement comme les noirs aux Etats Zunis, ceux qui tuent le plus de noirs sont d’autres noirs.

Cette info est répétée à tort et à travers par les fachos de l’extrême droite américaine et répétée par la notre. Elle est surtout HS dans le contexte actuel (et encore plus dans les commentaires de cet article) : si on regarde les civils non armés tués sans raison par les flic aux USA, les noirs sont ultra-sur-représentés.
Balancer d’autres chiffres n’ayant rien à voir (comme le nombre de tués armés par les flics, ou le nombre de tués par des non-flics, ou sans normaliser par la taille des différentes population) s’appelle « noyer le poisson ».