Commentaires : Après le "quiet quitting", voici la nouvelle tendance qui fait trembler les open spaces (et c'est à cause de l'IA)

C’est un nouveau casse-tête pour les patrons, et il reflète parfaitement les paradoxes émanant de l’essor de l’intelligence artificielle (IA) générative : le « workslop », ou le brouillon IA en français.

C’est artificiel, c’est marqué dans le nom. Vous vous attendiez à quoi?

Ca me parait pas déconnant en vrai.

A la base c’est sensé être un outil complémentaire, et c’est l’utilisateur qui devient l’outil complémentaire.

J’ai faire par chatgpt un code html d’une signature. Car je suis pas codeur.
Ben je constate que c’est pas parfait car il faut tout dire, prévoir, sinon l’IA va faire bien, mais sans englober le reste.

Alors que j’imagine qu’un vrai cas productif c’est : je fais mon code, et je demande à l’IA de vérifier, ou de me donner un truc dont je manque l’info.

(sauf que comme je suis pas codeur, je risque pas de faire la signature moi même).

Autre exemple : l’AI est super pratique pour fluidifier un texte, le rendre plus concis en éliminant le superflu, etc… Mais si toi tu lui balancer 2/3 truc et que tu lui dit de se démerder, c’est nul, et effectivement vide de sens, etc…

Bref, c’est un outil, et comme il papote comme nous on oublie que ça en est un.

l’IA fait ce qu’on lui demande (et ce qu’elle comprend) et elle nous envoie tout droit vers Idiocracy car on va devenir de plus en plus fainéant intellectuellement…

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Je ne vois pas bien le rapport avec les open spaces ?

J’avoue que le titre n’a absolument aucun sens. Sans doute rédigé par IA :sweat_smile:

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En tous cas, c’est l’horreur de bosser là-dedans. Et les patrons le savent, mon beau-fils qui est payroll officer a son propre bureau fermé, parce qu’on lui a dit qu’il fallait qu’il travaille au calme. Et quand il doit passer dans l’open space pour l’un ou l’autre raison, il dit que le niveau de bruit est infernal et que ce n’est pas étonnant que beaucoup d’employés fassent des burn-out. :sweat_smile:

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Et encore l’adoption de l’IA dans les entreprise n’en est qu’à ses débuts, dans 3 - 4 ans, quand tout le monde aura perdu 5 point de QI a force de ne plus réfléchir, les vrais problèmes vont arriver :slight_smile:

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Dans de nombreux domaines professionnels, les IA génératives sont une plaie qui fait perdre plus de temps qu’elle n’en fait gagner. En clair, il y a tellement de vérifications et de corrections à apporter sur le contenu généré, que ça n’en vaut pas la chandelle.

L’IA générative ne devient efficiente que sur des tâches ultra-stéréotypées et pauvres en compétences. Le soufflé IA est déjà en train de retomber, même si l’impact dans certains domaines est tout sauf négligeable.

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Alors que le « quiet quitting », qui consiste à se contenter du minimum au travail sans engagement supplémentaire, inquiète de plus en plus, voilà un nouveau phénomène qui ne va pas arranger les choses. Si on nous promet que l’intelligence artificielle va faire exploser la productivité des salariés et améliorer leur rendement, la réalité est pour l’instant toute autre.

Un point à mettre en avant ici : QUI va profiter de cette productivité accrue ? Les constats de ces 40 dernières années nous révèlent que ce ne sont pas les travailleurs et travailleuses qui en bénéficieront. De là, pourquoi se casser le fion à bosser ?

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Le problème est que la fameuse « IAG » pour le moment nous échappe, et nous n’assistons qu’à de gesticulations d’IA’s incompétentes et souvent hallucinées par le trop d’informations contradictoires venant de penseurs obsolescents et d’influenceurs excités. Mais avec l’arrivée prochaine qui se dessine dans la « DAG » (Déficience Artificielle Généralisée), l’humanité aura finalement accompli son pas décisif. Et là où des millions d’années d’évolution n’ont servi qu’à faire marcher sur deux pattes les singes arboricoles que nous étions, la DAG nous fera ramper sur terre comme des vers, et comme le voudraient des humanistes de renom, même sur Mars, dans des combinaisons tubulaires pressurisées de toute beauté, dignes du chic parisien le plus mordant. Le rêve évolutif d’un futur radieux de technologie libératoire et libertarienne alors s’accomplira. Et soyons heureux et reconnaissants vers tous ces mécènes, altruistes et visionnaires : si la conquête de l’intelligence a pris des millions d’années, celle de la déficience prendra seulement quelques décennies. Parce que la vitesse exponentielle du progrès humain, technologique et sociétal est inarrêtable, et ça ne peut que me remplir de joies et d’espoirs.

Ca a précisément l’air d’un texte pondu par une IA. heink

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