L’État américain, pris d’une soudaine fringale d’investisseur, se verrait bien actionnaire d’un projet minier majeur. Après les puces électroniques, c’est au tour du lithium de susciter l’intérêt de Washington, qui envisage une prise de participation dans la société Lithium Americas. Une méthode qui, semble-t-il, est en passe de devenir une habitude.
N’importe quoi cet article élogieux. La prise de parts dans Intel n’était absolument pas un partenariat commercial, c’était purement et simplement une action mafieuse. Intel voulait pouvoir vendre ses puces en Chine et Trump a exigé du pognon en échange, dont une bonne partie ira très certainement directement dans sa poche.
Étrange cette sollicitude soudaine pour le lithium quand on sait l’aversion au véhicule électrique du bonhomme.
On pourra toujours ajouter l’hypocrisie à une liste non exhaustive de tout ce qui est malfaisant.
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Tu n’as pas bien lu l’article et ses, multiples, comparaisons entre l’administration américaine et la Mafia.
Il est très ironique et pas du tout élogieux. Je le trouve personnellement assez lucide.
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Il a simplement une forte attraction pour tout ce qui peut rapporter des dollars. Un de ses conseillers a dû réussir à lui faire comprendre que le lithium peut rapporter, donc ça l’intéresse. Même pas sûr qu’il sache à quoi ça sert par contre 
Lithium Americas étant une société canadienne et vu les tensions entre eux et les USA, à voir comment ça va tourner. Pas sûr que les canadiens n’essaient pas de contrer Trump. ^^
Chut, ça s’appelle « America », c’est suffisant pour que Trump croit que c’est étatsuniens 
Le reste c’est au-delà de sa capacité de réflexion.
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Vu le niveau intellectuel du bonhomme, ça n’aurait rien d’impossible. ^^
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« Si c’est subventionné par les États Unis, c’est à nous »
C’est simple, non ?
Il suffit à la société de refuser la subvention et Donald se retrouve le bec dans l’eau. Comme son homologue animé plus sympa. ^^
Avec ce gros filou de premier ministre, que les canadiens ont en ce moment, l’agent orange a toutes les chances de se casser les dents.
Il lui a déjà plusieurs fois provoqué des crises d’ulcère. 
Si j’ai bien compris l’article, il ne s’agit pas ici de subvention à proprement parler, mais d’un prêt qui a été fait à l’entreprise.
Donc, tant que l’entreprise rembourse ses échéances, Trump n’a pas de moyen de pression et aucune raison de réclamer la moindre action de l’entreprise. Aucun moyen légal, du moins. Et même si l’entreprise se trouvait en difficulté pour rembourser son prêt, elle préfèrerait sans doute se tourner vers l’État Canadien pour l’aider que vers les États Unis.
Mais allez savoir ce que l’exécutif américain peut inventer pour faire pression sur une entreprise, à commencer par une menace de nationalisation pour raison d’intérêt national ou une obligation de rachat de l’entreprise par un consortium américain sous contrôle de la Maison Blanche, comme avec Tik-Tok.
Avec Trump, le seul moment qui pourrait être étrange, c’est quand il ne fait pas un 180° d’un jour à l’autre.
C’est toi qui a dit « subventionné », je n’ai fait qu’enchaîner. ^^
Tout à fait, je m’auto corrigeais.