Commentaires : Adobe : le virage stratégique qui a propulsé la petite entreprise en véritable machine à cash

En 2013, Adobe abandonne les licences perpétuelles pour adopter un modèle d’abonnement (SaaS). Cette décision transforme radicalement l’entreprise, avec une croissance de 50% des revenus en trois ans.

Racket parfaitement organisé, il est très difficile de résilier lorsque l’on n’a plus besoin de 15 licences pour un projet, il y a des dates d’échéances obscures, c’est une honte, avec des pénalités énormes si l’on résilie avant.
Les licences perpétuelles ne fonctionnent plus, bien évidemment, sur les nouveaux MacOS et le seul moyen pour un graphiste ayant une licence perpétuelle, qui ne peut pas se payer d’abonnement, est de garder un ordinateur vieux d’une douzaine d’années avec l’OS de l’époque.

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Quelle déception de voir que leurs revenus ont augmenté de 50%.
Pour ma part c’est un boycott pur et simple, je n’ai jamais payé un logiciel qui demande un abonnement ou une connexion internet obligatoire même s’il est gratuit. Par contre, je paye pour des logiciels qui proposent un achat donc la licence est à vie (oui, j’ai payé pour WinRAR). Mes autres logiciels sont donc bien-sûr en gratuits, comme Libre Office, Open Office, Gimp, Inkscape, Blender…

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Alors, payer pour ne pas posséder un logiciel dont on se sert est étranger parfois, mais dans le cas des outils, les licences perpétuelles étaient hors de prix et ne permettaient pas de changer de version, hors il y a eu quantités de versions de Photoshop ou Photoshop Lightroom ; a contrario, 17€ par mois pour les deux je trouve ça acceptable.
De même MS 365 à 99€ par an (!) avec 6To de cloud c’est juste imbattable !

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En fait, cela peut être moins cher : j’ai un famille à 50€/an (promos régulières)

Imbattable ? peut-être. License MS Office Pro 2024 achetée 1€ sur CDiscount et 6 To chez Infomaniak en Suisse pour 60 €/an. Tout dépend des besoins.

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