L’université d’Édimbourg a créé une bactérie qui pourrait être la solution au recyclage des batteries des voitures électriques en récupérant les métaux précieux contenus dans celles-ci. Voyons ensemble comment ils ont réussi cet exploit.
Génial, une bactérie pour récupérer les métaux rares, Gode save the king 
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Toujours de bonnes excuses pour jouer a Frankenstein…
Comme l’écrit Bombing Basta, c’est le Frakenstein du smoothie épinard, kiwi de l’université de Chalmers ?
En tous cas, si on peut récupérer les batteries de trottinette avec ce procéder, ça peut valoir le coup.
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Ça rappelle un peu la bactérie pour recycler les Traban après la chute du mur de Berlin.
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Les news neozone, j’y ai lu bien 30 fois que les batteries seraient recyclées, et 500 fois que la fusion nucléaire était à portée de main.
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Ce reportage a perdu toute sa crédibilité a la première phrase.
Question :
Quelles sont les « terre rare » présente dans les batteries ?
Les terres rare ne sont ni des terres ni rare, et aucune ne constitue les batteries.
Ont trouve du néodyme dans la majeur partie des moteurs électriques, les disques dur et autres petit électroménager.
Je vous invite à consulter la liste des terres rare sur Google par exemple et arrêtez de stigmatiser la voiture électrique.
Pour ceux qui voudraient me balancer « Cobalt » a la figure, ce métal est consommé en très grande quantité par le raffinage du pétrole pour dé sulfurisé les carburants, alors les histoires d’enfants dans les mines, c’est de la faute aux pétroliers
", j’y ai lu bien 30 fois que les batteries seraient recyclées, "
les batteries sont déjà largement recyclées, on a même les usines concernées en france avec d’excellent taux de récupération.
On cherche juste à optimiser et à baisser le cout du recyclage.