Il n’est pas le premier à intégrer de telles garanties de sécurité, mais il n’est pas non plus le dernier. Face aux enjeux soulevés par l’évolution de l’informatique quantique, NordVPN annonce se jeter dans la mêlée.
Bullshit marketing.
Comment un truc peut être « post quantique » alors qu’on y est a peine dans le quantique…
Comment se protéger contre un truc dont on a aucune idée du mode de fonctionnement (ou alors nord vpn travaille dans les labos de recherche quantique d’IBM) ?
Et si il suffit de quelques lignes de code, encore une fois sans savoir face à quoi ce code sera confronté, pour se protéger, alors c’est que l’ordinateur quantique ne sert pas à grand chose
Ca sera plus clair avec une autre sponso, celle du JDG.
On sait comment fonctionnent les ordinateurs quantiques. Il y a même déjà des langages de programmation conçus spécifiquement pour ces ordinateurs, qu’on peut commencer à utiliser sur des simulateurs.
L’utilité d’un ordinateur quantique ne se limite pas au cassage de chiffrement…
On sait comment fonctionnent des prototypes avec quelques qbits, qui ne sont pour l’instant que des matériels de recherche.
Quand on aura des ordinateurs de « production » fiables aux mains des organes étatiques ou des multinationales, pas sûr que les mesures « post quantique » de nord vpn servent à quoi que ce soit, peu importe qu’on puisse en simuler une fraction avec un ordinateur classique.
Permet moi de le répéter, c’est une annonce purement marketing (qui concerne bien ici une soit-disante protection contre le « cassage de chiffrement »).
Tout comme on sait qu’un algo est ou n’est pas performant sur un ordinateur classique, on sait quel algo est ou n’est pas performant sur un ordinateur quantique.
On peut très facilement calculer le temps qu’il faut pour craquer un algo avec un type de machine et une puissance donnée, je ne vois pas ou est le problème.
On peut faire une analogie avec les algo de tri ou les hashmap, on sait très bien quantifier le temps moyen du tri ou de l’accès (en n, log(n), exp(n) par exemple), indépendamment de la puissance brute de l’ordinateur.
Cette quantification estimée sur un ordinateur futur pourra être multipliée par 100, un craquage ira « juste » 100x plus vite mais sur un temps compté en milliers d’années par exemple (ou plus) cela ne changera pas fondamentalement le résultat.